Technologie et humanité – Zuckerberg et Harari

Deux f.o.u.s. en train de discuter d’une pseudo-réalité qu’ils tentent d’imposer à une majorité, en lui mentant bien sûr.

« Dans cet entretien du 27 Avril 2019, Mark Zuckerberg accueille Yuval Noah Harari pour une conversation sur certains grands défis, dans le cadre de la série de discussions publiques en 2019 du PDG de Facebook sur l’avenir de la technologie dans la société. La question primordiale dont ils débattent est la suivante : qu’allons-nous faire des problèmes systémiques de la révolution technologique actuelle ? »

Merci à fils de Pangolin pour la traduction. Super pseudo, ils nous prennent justement pour des « animaux sociaux » arf !

CHAPITRES 00:00:00 Introduction 00:01:30 La technologie fragmente-t-elle notre monde ? 00:08:00 Le rôle des communautés en ligne 00:11:00 Facebook & Quel est l’objectif ? 00:14:00 Créer une plus grande coopération mondiale & les valeurs 00:19:47 Localisation, mondialisation et extrémisme 00:25:25 La mondialisation est-elle toujours positive ? 00:29:11 Le marché libre et l’IA 00:34:09 Comment le nationalisme affecte la confidentialité des données 00:41:40 Une approche américaine des données d’abord 00:48:40 Bâtir des systèmes de protection de l’IA qui nous protègent véritablement 00:54:00 Centralisation des données, décentralisation et guerre froide 01:04:30 Détourner l’attention humaine 01:14:00 Le client a-t-il toujours raison ? 01:20:39 Correction de l’extrémisme 01:25:00 Totalitarisme et capitalisme de surveillance

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10 mn au Lidl

Après 10 jours sans huile d’olive, je me décide enfin à retourner dans Babylone. Nous sommes un mercredi en Bretagne nord, le 26 octobre. La température est de 28 degrés au soleil… Le ciel est cependant laiteux, rempli de traces blanches que laissent des avions qui volent en tous sens depuis des mois comme pour masquer des choses. J’enfile des tongs. Fin octobre. Je traverse l’immense forêt en voiture, seul espace à peu près sauvage dans le secteur. Les arbres sont toujours sublimes, les feuilles tombent à peine. Quelques chasseurs traînent dans les ombrages. On est mercredi, jour des enfants, mais les chasseurs occupent l’espace naturel.

J’arrive sur le parking flambant neuf du lideule, entouré de champs pesticidés. Le robot tondeuse rase une herbe rare. Un camion de pompiers est garé devant le magasin et se prépare à démarrer. J’entre presque à reculons dans le supermarché. Directement cette odeur de pains au chocolat qui vient te parasiter les narines et te tenter d’acheter quelques unes de leurs saloperies. Je choisis l’huile et me retrouve comme par miracle devant des boules de Noël. Des boules de Noël. Le 26 octobre. Noêl. Les tongues. La tondeuse. La chaleur. Le Christ notre sauveur, je souris, les illusions sont si visibles.

Il y a un silence abominable dans le hangar du Lidl. Je regarde les gens. Ils sont lents et bouffis. Un vieil homme obèse avec des lunettes monumentales contemple une boîte d’oeufs ouverte, je lui demande ce qu’il fait : « Je cherche la date de ponte sur l’oeuf ». Je lui réponds « ah bon, ce n’est pas la même date que sur la boîte ? » Il me dit « nnnnon, je vérifie tout le temps ». Le pauvre, s’il savait qu’il y a du graphène dans leur poivre, leurs flocons d’avoine, s’il savait que les animaux sont vaccinés ARN messagers, s’il savait tout… Il n’achèterait plus rien quasiment.

J’arrive à la caisse. Une sonnerie abominable rompt le silence pesant puis s’arrête. Une femme est devant moi dans la queue avec un masque gigantesque sur la face. Ses yeux pâles et gros semblent sortir des orbites. Elle ne cligne pas des yeux, on dirait une zombie. Je regarde dehors. Je veux sortir. Je me contiens. Je demande au gars derrière si on n’est pas à une messe d’enterrement tellement c’est un silence de mort qui plane. Il rigole. C’est agréable d’un coup. Je demande à la caissière pourquoi les pompiers étaient là. « Un homme est tombé d’un coup, un AVC apparemment ». Tombé raide mort ou pas, je l’ignore. Un frisson me parcourt. Les gens « tombent ». Les pikouzes, les chemtrails, les tongues, Noël en été, le Lidl, les zombies.

Anna Scheele ©Technosphere

Photo ©AMC


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Nantes devient un potager XXL !

25 000 m² répartis sur 50 sites de la ville de Nantes ont été bichonnés pour recevoir semis et plants. Des serres, des jardins partagés, des zones de gazon inutiles sont ensemencés…Peut-être bientôt des fraises cours Cambronne et des patates aux Douves du château, une touffe de persil devant le bahut et des haricots derrière la gare ? C’est bien l’idée qui a germé au sein des locaux du SEVE (service des espaces verts de la ville) et du CCAS (centre communal d’action sociale).

Baptisé « Paysages Nourriciers« , ce projet est né de la situation liée au covid 19 : « La crise a précipité de nombreux foyers dans la précarité : perte d’emploi, de salaire, détresse sociale et alimentaire… Les associations d’aide alimentaire, qui voient affluer de plus en plus de familles n’ayant plus les moyens de se nourrir et d’accéder à une alimentation saine et de qualité, tirent la sonnette d’alarme », explique Johanna Rolland, maire de Nantes. (Journal « Métropole de Nantes »).

L’alarme a bien été entendue : « Plutôt que de créer un événement sur un seul site, comme souvent l’été, on s’est dit qu’on avait un rôle à jouer dans cette période pas simple », raconte Romaric Perrocheau, responsable du SEVE, au journal Ouest France.

Le projet est d’envergure. Au total, le SEVE espère ramasser 25 tonnes de légumes qui seront distribués aux familles en difficulté via notamment la Banque alimentaire, le Secours populaire, les Restos du cœur et les associations de quartier.

Nantes devient la seule ville à ma connaissance à posséder un potager aussi immense, même Paris ne lui arrive pas à la cheville avec son projet de « plus grande ferme urbaine au monde » d’une surface de 14.000 m2 sur le toit du nouveau hall du Parc des Expositions au coeur du 15ème arrondissement. D’autant que le projet parisien n’a rien de solidaire car il sera géré par des maraîchers qui vendront leurs produits.

Ainsi, à Nantes, « environ 1 000 foyers pourraient recevoir environ 25 kg de légumes chacun, au fil des récoltes. Selon les variétés, les légumes seront récoltés entre juillet et octobre, avec le soutien des habitants volontaires et de bénévoles d’associations nantaises. » (Journal « Métropole de Nantes »).

Et cerise sur le gâteau, plusieurs jardins partagés s’engagent également à offrir leurs surplus de légumes. Elle n’est pas splendide la nature humaine parfois ?

Au total, à Nantes, ce sont donc 50 lieux de production répartis dans les 11 quartiers de la ville qui accueilleront ces potagers solidaires. Autre merveille : tout est naturel et local, sans aucun pesticide, garantit le SEVE qui s’est fait conseiller par des spécialistes de la permaculture pour mener à bien cette opération solidaire. Au total, 10 000 plantes potagères sont plantées en ce moment ! Pour télécharger la carte des 50 sites des « Paysages nourriciers » c’est ici.

Et attendez ! Pour parfaire le tout, Nantes a aussi mis en place un système de collecte des déchets organiques et de composteurs collectifs ce qui allège les poubelles tout en créant du compost afin d’enrichir toutes ces cultures. Ah ! C’est merveilleux !

Cependant, l’idée n’est pas nouvelle

Surtout dans la ville de Nantes qui compte déjà beaucoup de jardins partagés et d’associations comme Incroyables Comestibles Nantes ou Ça pousse en Amont ou encore Collectif Permaculture 44.

Elle est encore moins nouvelle si l’on observe l’Histoire. En effet, la gestion en commun de terrains vacants fut souvent dictée par des périodes de crises économiques et des guerres : évoquons les « Liberty Gardens » de la 1ère guerre mondiale et les « Victory Gardens » de la 2ème guerre mondiale. Encore plus tôt, au Moyen-âge, en Europe, toutes les terres étant détenues par des Seigneurs, des communautés de villageois se rebellent et se rassemblent sur des terres collectives afin de défendre leurs droits d’usage.

Plus proche de nous dans le temps, c’est aussi ce que firent des mères de famille anglaises en détresse, en 2008, à Todmorden, une ville industrielle ruinée de 14 000 habitants au nord de Manchester. Sur fond de grave crise économique, ces mamans bien inspirées décidèrent d’agir sur le front crucial de la nourriture en créant les « Incroyables comestibles« , ces fruits et légumes cultivés localement par l’ensemble des habitants en pleine ville ! Chaque citoyen entretient bénévolement un carré de terre pour la collectivité et se sert donc gratuitement. En trois mois, la petite ville devient autosuffisante en légumes !

Officiellement apparus en France en 2011, les « Incroyables comestibles » français sont exportés par François Rouillay, séduit par l’idée de partage après une visite à Todmoren. Depuis, des dizaines de communes ont rejoint le mouvement à Lyon, Marseille ou Chartres, j’ai même vu des plants de tomates en libre service au bord d’un trottoir à Douarnenez, au fin fond du Finistère. Autonomes et participatifs, les potagers urbains offrent une nouvelle vision de la consommation…

Incroyable-Comestibles-food-giveaway
©Incroyables comestibles

L’agriculture urbaine, l’avenir des villes

Potagers verticaux, aquaponie, espaces urbains en friche transformés en potagers, toits plats aménagés voilà autant d’idées dont s’emparent de plus en plus les associations, les élus, les spécialistes de l’agriculture urbaine, les architectes paysagistes afin d’anticiper pénurie alimentaire éventuelle et crise économique toujours bien présente. Privilégier les circuits courts, recréer du lien social, les avantages valent plus cher que de l’or. En terme d’infrastructure, les potagers peuvent aussi servir la ville : à New York, l’agriculture sur les toits est rémunérée par la municipalité au nom de ses effets sur l’écrêtage des pics de ruissellement de l’eau de pluie…En d’autres termes, l’agriculture sur les toits évite de changer la taille des tuyaux de la ville !

Ces projets n’ont donc rien de « bobos » comme ils ont pu être définis par le passé mais sont intelligents, solidaires, bienveillants. Cela est un rêve pour moi qui utilise souvent le slogan « Just green it » et qui en ai fait un morceau techno l’an dernier Clip par Merlin basé sur un jeu vidéo que vous reconnaîtrez peut-être 😉 « Just green it »

Nous ne pouvons qu’espérer que nos villes seront de plus en plus nombreuses à adopter ce genre d’initiatives. C’est de cela dont nous avons besoin : de nourriture saine, d’amplitude financière, de proximité sociale, d’ancrage à la terre, d’exercice physique…

Anne de Bretagne, du haut de sa tour nantaise, est certainement très fière de voir sa population se préparer à vivre dans l’abondance.

Anna Marguerite Scheele ©Technosphere 2020

Changer de job ? Allez, on saute !

En tant que thérapeute, je rencontre des humains assez perdus en ce moment qui ne supportent plus leur travail et qui sont proches du burn-out voire complètement dedans. Cela est notamment dû à l’élévation générale des consciences, à un éveil global, à une élévation qui nous pousse à ne plus travailler à des emplois qui ne nous conviennent pas, qui nous aliènent ou sont inutiles du point de vue collectif et ne servent pas le vivant en général. Notre monde actuel s’effondre complètement et nos esprits nous poussent à retrouver notre intelligence réelle, un chemin à l’opposé de la notion d’égo, de carrière, de l’individualisme, de concurrence ou de capitalisme.

Aujourd’hui plus que jamais, les énergies anciennes ne correspondent plus du tout aux nouvelles énergies du moment qui sont puissantes, les gens se remettent en question, eux-mêmes et leur place sur cette planète de dingues. Si nous luttons contre ces nouvelles énergies, nous pouvons nous préparer à beaucoup souffrir. C’est pourquoi, lâcher l’ancien est une option intéressante si cela vous permet d’obtenir joie et abondance. Le processus de reconversion pro est une opportunité merveilleuse, un outil d’avancer vers soi-m’aime et d’avancer sur la belle route de la conscientisation !

Que faire concrètement ?

Je vous conseille de prendre le temps de réaliser que nous avons été conditionnés depuis la naissance et que vous menez une existence probablement à côté de ce que vous devriez vraiment être. Certains vont vivre une grande tristesse voire un sentiment de trahison ou de colère… Une fois cette étape passée, laissez tomber vos peurs et votre mental affolé qui vont  vous rabâcher  que « ce n’est pas raisonnable » , que c’est trop dur, que vous n’êtes pas capable.

Au contraire, écoutez-vous enfin vraiment : de quoi avez-vous besoin ? À quoi aspirez-vous ? Qui êtes-vous ? Quelle activité rémunératrice vous apporterait de la joie et une raison d’exister ? Exigez des signes de votre « moi-supérieur » (esprit) ! Et faites-lui confiance !

Afin d’y voir plus clair, je vous conseille de bien placer votre conscience DANS VOTRE CORPS et de vous relier à la Terre et au Soleil puis de vous connecter à votre Coeur et vous sentirez forcément ce qui est bon pour vous.

Comment se connecter ?

Je vous délivre ici une petite méditation à effectuer quand vous vous sentez perdusPetite méditation d’ancrage qui va vous placer dans votre propre pilier de Lumière :

  • Au réveil, imaginez un fil d’or qui part de votre coeur et qui va rejoindre le centre de la Terre en passant par le bas du corps : donc ce fil se sépare en 2 au niveau des jambes et sort des pieds pour rejoindre le centre de la Terre : une immense pierre d’émeraude étincelante à laquelle vos fils d’or s’attachent.
  • Ensuite, pour la reliance à notre Soleil, faites de même en imaginant un fil d’or qui part de votre coeur afin de rejoindre le Soleil et se fixer à lui.
  • Enfin, 3ème étape de cette méditation d’ancrage : apprenez à respirer « par » le coeur puis par tout le corps, comme si toutes vos cellules inspiraient et expiraient en même temps. Je m’explique : au lieu d avoir l’impression que l’air entre par le nez ou la bouche, imaginez que l’air entre et sort par le Coeur puis par chacune de vos cellules puis ne pensez plus, faîtes taire le mental, cette grosse voix qui gâche toujours tout…

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Pour vous aider à trouver des idées

Demandez-vous ce que vous feriez de vos journées si vous étiez immortel, ou bien imaginez que je vous donne 2000 euros par mois : ce que vous feriez chaque jour ?! Les réponses seront certainement intéressantes… Quelles sont vos passions profondes ? Qu’avez-vous toujours rêvé de faire ? Qu’est-ce qui vous mettrait en joie ?

Pour vous aider dans ce cheminement, vous pouvez aussi faire votre « Ikigaï« (méthode japonaise pour trouver sa voie professionnelle, article technosphere ici avec lien à l’intérieur pour le faire gratuitement en ligne). 

Je ne conseille surtout plus de « demander à l’univers, des guides, des anges » car c’est faire appel à l’astral, qui ensuite vous le fera payer bien trop cher

Quand vous avez trouvé, faites-vous confiance car en commençant à agir vous trouverez toujours de l’aide sous une forme ou une autre (« Aide-toi et le Ciel t’aidera ! »). Parfois, cela apparaît de façon totalement incroyable…Je vous donne un exemple personnel : il y a 6 ans, je voulais démissionner de mon travail de prof de lettres tout en sachant qu’en cas de démission je n’aurais pas d’indemnité de chômage. Je précise que j’élève seule mon enfant. Le cadeau est arrivé en créant ma micro-entreprise de webredaction (Technosphere) j’ai appris que mon employeur offrait une indemnité de création d’entreprise 🙂 Pas mal, non ? J’ai pu payer mes loyers, ma formation en naturopathie et avoir le temps de développer mes facultés en énergétique. 

Se faire confiance et vibrer haut sont des bases énergétiques indispensables dans ce processus de changement professionnel.

Je vous conseille cet article Comment élever ses vibrations.

Pour conclure

Je préconise un grand coup de pied magistral et définitif à la peur, cette émotion la plus basse qui soit. Au contraire, je vous suggère de vibrer la joie, la gratitude infinie dans cette aspiration. Il faut aussi absolument faire taire le mental en se fixant dans le moment présent : je conseille vivement la merveilleuse pratique de la cohérence cardiaque et éventuellement de la méditation de pleine conscience. 

Comment éradiquer la peur : https://technosphere.live/2020/08/18/comment-ne-plus-avoir-peur/

Anna Scheele ©Technosphere 2020 – Actualisé janvier 2024

Merci à mon pote Asher Endokrin pour la photo d’en-tête 🙂 

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Walking Carrouf

Les consommateurs s’avancent, les bras en avant, posés sur le caddy,

Bouche ouverte, ils cherchent les promos d’un air abruti

Leurs gros corps mous de zombies sans énergie

Se traînent mollement dans les allées infinies,

Sous le panneau « produits régionaux » se tiennent des rangées de Red Bull

C’est bien connu l’energy drink est un produit breton 100% pure houle…

Les néons abominables éclairent les visages bouffis et malades

Pas un rayon de soleil n’entre dans cette débauche capitaliste toute fade

La nature est emballée dans des sachets en plastique

Tout respire la mort, la vie étouffée, et moi je suis en panique

Allez-y ! Servez-vous en viandes sanguinolantes !

Elles sont pleines de toxines et d’antibiotiques, ça vous tente ?

Attends ! T’oublies les fruits pesticidés et les plats tout préparés, t’es désolante !

Ah on va se régaler ! Les tubes digestifs se préparent à subir la coulante !

Partout ça pue le glyphosate, et pourtant dans tout le magasin ça se hâte !

Et quand arrive la promo nutella alors là on se prend pour des pirates !

Les prix ne sont même pas tous indiqués ou parfois ils diffèrent du rayon à la caisse !

Et oui, on nous vole en plus de nous vendre du poison, ça vous étonne ? C’est la hess !

En se baissant pour attraper le premier prix, on voit la fente immonde des fesses,

A ce moment là j’ai envie de vomir, de sortir ! Tout s’affaisse !

Mais attends, t’oublies aussi le dentifrice au fluor et le déo plein d’aluminium !

C’est incroyable tu ne sais pas faire tes courses toi ! Allez viens on consomme !

Hélas, nous ne sommes plus que des consommateurs, pas des Hommes.

Anna Scheele ©Technosphere 2019

#kill capitalism #justgreenit  #onelove #technosphere

Illustration : Duane Hanson, Supermarket Lady, 1969, visible au « Ludwig Forum für Internationale Kunst » à Aix-la-Chapelle.

 

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10 conseils pour protéger son couple de Facebook (si vous y tenez !)

Le mieux c’est d’essayer de vous mettre d’accord sur des bases saines. Voici quelques idées, c’est juste du bon sens et c’est surtout le fruit des dizaines de réponses obtenues dans le sondage, avec un grand merci renouvelé pour ceux qui y ont participé.

  1. Ne pas se montrer trop intime avec des inconnu(e)s qui pourraient se faire des films (on évite de liker avec le symbole du coeur, on s’exprime avec réserve et sans ambiguïtés.)
  2. Éliminer les contacts trop tentants ou les gens qui flirtent sans arrêt (on ne tente pas le diable…).
  3. Être poli avec son/sa partenaire en public et penser à lover sa photo de profil, une base.
  4. Être attentif à ses publications, et éventuellement les partager pour montrer votre soutien.
  5. Éviter d’accepter/demander trop de nouveaux contacts sauf si vous avez un projet professionnel ou artistique par exemple.
  6. Ne pas consulter cet espace durant des moments d’intimité (repas, discussions, etc.).
  7. Partager des choses sur sa page qui montrent que vous lui vouez aussi une attention particulière dans cet espace.
  8. Bien différencier sphère publique et sphère privée et faire la part des choses entre relations virtuelles et relations réelles.
  9. Bien réaliser que Facebook peut faire fantasmer.
  10. Ne pas oublier que la plupart des photos sont retouchées, filtrées…C’est fou comme la personne sur laquelle vous avez flashé peut être méconnaissable en réalité, donc inutile de liker les photos narcissiques, fausses ou sexy des pseudos « ami(e)s »…

Certains couples décident de ne plus être « amis » sur Facebook pour éviter les jalousies et les questionnements inutiles. C’est d’ailleurs la recommandation de la psychothérapeute et sexologue Gislaine Duboc, une femme avisée, que l’on peut entendre ici sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=yJB4hYUXQNY

Rita Jamal et Anna Scheele

Demi-tour

Imaginez-vous dire STOP. Stop, ça suffit, je n’irai plus travailler pour si peu. Je vous la rends votre vie d’esclave.

Non je ne payerai plus mes taxes, mes impôts, mes factures énergétiques, mes cotisations poubelles (on n’a presque plus de déchets), ma taxe audiovisuelle (j’ai vendu avec joie mes deux télés),  non je ne permets plus les prélèvements sur ma fiche de paye pour la caf (j’élève seule mon enfant, sans aides).

Non je ne paierai pas mon prêt immobilier pendant 25 ans, non je ne m’habillerai plus comme vous l’espérez, non je ne serai plus spécialement polie avec un chef (je déteste les chefs de toutes façons).

Non je ne ferai plus de devoirs le soir en faisant la vaisselle et le repas. Quant au réveil, je le recycle. Je ne tondrai plus le gazon, je n’arracherai plus une seule mauvaise herbe, je n’irai plus jamais voter vu qu’on nous prend pour des demeurés.

Non, je ne soutiens pas notre société de consommation, je suis pour la décroissance économique, l’anarchie, la responsabilisation, la liberté.

Donc, logiquement, en voiture, sur la route du travail, parfois, je fais demi-tour. Et je sens que bientôt, le demi-tour sera définitif…

travail-ciceron

travailtripalium1

Origine du mot travail : « Tripalium » (italien ancien) = instrument de torture à 3 pieux, utilisé pour écarteler la victime…Ce sens douloureux se retrouve aujourd’hui dans le contexte de la femme qui va accoucher, on dit que le « travail » a commencé mais quand au taf c est dur…oui, c’est de la torture !

Anna Scheele

Inspi graffitis

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Ancienne école de pêche d’Audierne et Douarnenez

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Un grand merci à la team de Valentino, les surfeurs du Cap Sizun (29) pour ces photos très inspirantes ! Pour votre plaisir…Allez, qui en envoie maintenant 😉 ?

Inspi graffitis à Nantes

© Anna Scheele – Juin 2017

« Graffiti walk with Anna », Quimper 2017

La banquière en coupé-décalé

La banquière c’est sûr, elle a déjà réglé ses obsèques. Elle est là, toute moisie, toute puante derrière son bureau Ikéa. Je suis encore en retard mais j’arrive même pas à m’excuser tellement je me sens mal : l’atmosphère fausse et froide, les néons, les prospectus, la thune sans thune partout. Bref moi si je rapplique dans une banque c’est juste pour avoir de la thune justement.

« Voilà, j’ai besoin de 7000 euros madame Harpagon s’il vous plait, oui je sollicite ce prêt chère madâââme pour… » Lire la suite