4 façons d’échanger de l’énergie avec un arbre

Il existe différentes manières d’entrer en contact avec un arbre mais d’abord il est bon de le saluer intérieurement avec respect et lui demander s’il veut bien communiquer avec nous, vous sentirez la réponse de façon très douce, discrète et bien sûr, c’est presque toujours « oui ». Veillez à choisir un arbre qui vous attire, dont l’allure est saine plutôt qu’un arbre tout tordu voire mort, cela se comprend facilement. Je vous conseille ensuite de varier les arbres, ainsi vous ressentirez peu à peu de façon plus précise que l’énergie des arbres diffère selon la taille, l’espèce, l’endroit…

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Le plein essor inspirant des éco-lieux

Chaque jour, des gens de tous âges et de tous horizons sociaux décident de redonner un sens à leur vie en créant ou en rejoignant un « éco-lieu ». Il va sans dire que la crise sanitaire actuelle et ses abominables confinements ont accéléré la prise de conscience : le besoin de vivre plus proche de la nature s’est révélé de façon évidente et pressante.

La chute du modèle sociétal actuel est bien entamée et beaucoup de gens se rendent compte que nous allons droit dans le mur à continuer sur ce même modèle qui semble fonctionner à l’envers en malmenant et tuant la sphère du Vivant.

Après avoir été maintenus sous hypnose collective via notre éducation, les médias, le rythme effréné, des êtres humains se réveillent et décident de quitter une vie qui n’a plus de sens : perdre sa vie à la gagner, enchaîner des heures et des heures de travail pour se retrouver quand même dans le rouge, ne pas voir ses enfants grandir, être dépendants d’énergies non renouvelables, se sentir esclave, consommateur, en stress permanent, soumis à des puissances qui nous dépassent amplement… Vivre sans cohérence avec la Terre…

Ainsi naît le désir d’un retour au bon sens, à la Nature, à la sobriété heureuse dont parle le formidable Pierre Rabhi (http://www.pierrerabhi.org/). Nul besoin de vivre en communauté pour être sobre et heureux, cependant mutualiser nos talents et nos ressources est extrêmement intelligent.

En France, on dénombre de plus en plus de ces « oasis » qui font sens : ils sont plus de 1000 ! Ces éco-lieux, éco-villages, éco-hameaux, éco-quartiers, éco-collocations attirent chaque jour plus de jeunes, de mamans solos, de familles entières, de personnes seules, de personnes âgées. Ils sont prêts à tout quitter pour vivre autrement, en harmonie avec le vivant, qu’il soit animal, humain, végétal, minéral. Beaucoup ont souffert de la société « conventionnelle » et ont travaillé sur eux-mêmes afin de trouver des solutions. Beaucoup savent que le modèle actuel « standard » est voué à mourir. Alors on change.

Le plus souvent, les gens qui quittent leur mode de vie sont en quête d’une vie en lien avec la Terre et portent des valeurs « mère-veilleuses » de conscience du vivant, d’autonomie au sens large, de solidarité. Beaucoup proposent d’aider gratuitement le temps d’un hébergement, sur le modèle du woofing. Ainsi, certains font le tour de France ou d’Europe des éco-lieux afin de trouver celui qui va les inspirer, apprennent les techniques d’éco-construction, d’habitats légers, de permaculture, de communication non violente, etc. Il y a une telle masse de créativité que l’inspiration germe facilement, les gens s’affinent dans leurs projets, dans leurs connaissances d’eux-mêmes et donc dans leur spécialités. De gens se forment à toutes sortes de techniques : le nouveau monde est en plein accouchement.

En même temps le phénomène n’est pas nouveau : déjà dans les années 1960 on avait observé l’émergence de mouvements communautaires plus ou moins hippies. Aujourd’hui, certains lieux sont centrés autour d’une école, comme en Ardèche, au Hameau des Buis https://hameaudesbuis.com/ D’autres sont des villages urbains comme le village vertical à Villeurbanne qui est une coopérative d’habitants https://www.village-vertical.org/ D’autres encore sont des ZAD, des squats, des communautés religieuses ou des fermes. Il existe aussi des communautés anarchistes, des regroupements de thérapeutes, d’artistes, tout est envisageable, à l’image de la diversité humaine, sauf les sectes bien sûr. (Moi je rêve parfois d’une communauté mobile festive et créative autour de la musique et des plantes médicinales 😉 )

Leur point commun cependant est d’avoir su faire coïncider une utopie, une conscience du Vivant avec une réalité de terrain. En général, monter un projet demande quelques années. Il existe même des professionnels, des businessmen qui créent des projets « clés en main » à l’image du projet EWA Farm qui présente un modèle systémique, des éco-lodges et des zones forestières gérées conformément aux objectifs fixés dans le programme REDD+ des Nations Unies. Ce sont des avocats, ingénieurs, architectes qui proposent aux pays de leur vendre leur projet de villages, autonomes à tous points de vue (eau, alimentation, énergie). Il leur manquera l’aspect humain : en effet, on ne peut garantir le succès d’un modèle systémique : il faut la tribu cohérente et le lieu qui correspondent.

Pourtant, il est vrai que se faire aider dans la création de son projet est bien utile pour les aspects, techniques, juridiques, financiers. Certains se regroupent en SCI, en associations, en micro-fermes, en coopératives. Ailleurs, chacun est propriétaire de son habitat mais les habitants partagent des lieux communs : atelier, potager, machine à laver, outils, véhicule… Tout dépend de la taille du lieu, de son rapport à la propriété, des objectifs poursuivis, de la philosophie des habitants…

Pour conclure, je pense que ces lieux décroissants représentent un modèle cohérent et qu’ils sont une belle façon d’être (r)évolutionnaire aujourd’hui face à une dictature rampante et à l’effondrement qui se déroule sous nos yeux. Vivre en harmonie avec le vivant, récupérer notre bon sens et notre humanité sont des clés de survie dans un Occident moribond. Il n’y a ensuite plus qu’un pas à franchir pour être vraiment révolutionnaire : enterrer sa carte d’identité et se relier à un réseau de type « One Nation » ou toute autre gouvernance indépendante afin de ne plus avoir de liens toxiques avec l’administration mafieuse de notre pays. On peut rêver, non ?

Anna Scheele ©Technosphere

https://www.colibris-lemouvement.org/magazine/tour-france-ecolieux

Exemple de groupe Facebook autour de ce thème, plus de 60 000 personnes y sont inscrites ! Et tous les jours de nouveaux projets sont présentés et de nouvelles personnes cherchent un éco-lieu à intégrer ! https://www.facebook.com/groups/1507191902900251

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Comment se protéger des énergies négatives en 2 secondes

Cette technique énergétique est très puissante, simple et de plus en plus efficace au fur et à mesure des utilisations.

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Amicalement, Anna Scheele ©Technosphere

Nantes devient un potager XXL !

25 000 m² répartis sur 50 sites de la ville de Nantes ont été bichonnés pour recevoir semis et plants. Des serres, des jardins partagés, des zones de gazon inutiles sont ensemencés…Peut-être bientôt des fraises cours Cambronne et des patates aux Douves du château, une touffe de persil devant le bahut et des haricots derrière la gare ? C’est bien l’idée qui a germé au sein des locaux du SEVE (service des espaces verts de la ville) et du CCAS (centre communal d’action sociale).

Baptisé « Paysages Nourriciers« , ce projet est né de la situation liée au covid 19 : « La crise a précipité de nombreux foyers dans la précarité : perte d’emploi, de salaire, détresse sociale et alimentaire… Les associations d’aide alimentaire, qui voient affluer de plus en plus de familles n’ayant plus les moyens de se nourrir et d’accéder à une alimentation saine et de qualité, tirent la sonnette d’alarme », explique Johanna Rolland, maire de Nantes. (Journal « Métropole de Nantes »).

L’alarme a bien été entendue : « Plutôt que de créer un événement sur un seul site, comme souvent l’été, on s’est dit qu’on avait un rôle à jouer dans cette période pas simple », raconte Romaric Perrocheau, responsable du SEVE, au journal Ouest France.

Le projet est d’envergure. Au total, le SEVE espère ramasser 25 tonnes de légumes qui seront distribués aux familles en difficulté via notamment la Banque alimentaire, le Secours populaire, les Restos du cœur et les associations de quartier.

Nantes devient la seule ville à ma connaissance à posséder un potager aussi immense, même Paris ne lui arrive pas à la cheville avec son projet de « plus grande ferme urbaine au monde » d’une surface de 14.000 m2 sur le toit du nouveau hall du Parc des Expositions au coeur du 15ème arrondissement. D’autant que le projet parisien n’a rien de solidaire car il sera géré par des maraîchers qui vendront leurs produits.

Ainsi, à Nantes, « environ 1 000 foyers pourraient recevoir environ 25 kg de légumes chacun, au fil des récoltes. Selon les variétés, les légumes seront récoltés entre juillet et octobre, avec le soutien des habitants volontaires et de bénévoles d’associations nantaises. » (Journal « Métropole de Nantes »).

Et cerise sur le gâteau, plusieurs jardins partagés s’engagent également à offrir leurs surplus de légumes. Elle n’est pas splendide la nature humaine parfois ?

Au total, à Nantes, ce sont donc 50 lieux de production répartis dans les 11 quartiers de la ville qui accueilleront ces potagers solidaires. Autre merveille : tout est naturel et local, sans aucun pesticide, garantit le SEVE qui s’est fait conseiller par des spécialistes de la permaculture pour mener à bien cette opération solidaire. Au total, 10 000 plantes potagères sont plantées en ce moment ! Pour télécharger la carte des 50 sites des « Paysages nourriciers » c’est ici.

Et attendez ! Pour parfaire le tout, Nantes a aussi mis en place un système de collecte des déchets organiques et de composteurs collectifs ce qui allège les poubelles tout en créant du compost afin d’enrichir toutes ces cultures. Ah ! C’est merveilleux !

Cependant, l’idée n’est pas nouvelle

Surtout dans la ville de Nantes qui compte déjà beaucoup de jardins partagés et d’associations comme Incroyables Comestibles Nantes ou Ça pousse en Amont ou encore Collectif Permaculture 44.

Elle est encore moins nouvelle si l’on observe l’Histoire. En effet, la gestion en commun de terrains vacants fut souvent dictée par des périodes de crises économiques et des guerres : évoquons les « Liberty Gardens » de la 1ère guerre mondiale et les « Victory Gardens » de la 2ème guerre mondiale. Encore plus tôt, au Moyen-âge, en Europe, toutes les terres étant détenues par des Seigneurs, des communautés de villageois se rebellent et se rassemblent sur des terres collectives afin de défendre leurs droits d’usage.

Plus proche de nous dans le temps, c’est aussi ce que firent des mères de famille anglaises en détresse, en 2008, à Todmorden, une ville industrielle ruinée de 14 000 habitants au nord de Manchester. Sur fond de grave crise économique, ces mamans bien inspirées décidèrent d’agir sur le front crucial de la nourriture en créant les « Incroyables comestibles« , ces fruits et légumes cultivés localement par l’ensemble des habitants en pleine ville ! Chaque citoyen entretient bénévolement un carré de terre pour la collectivité et se sert donc gratuitement. En trois mois, la petite ville devient autosuffisante en légumes !

Officiellement apparus en France en 2011, les « Incroyables comestibles » français sont exportés par François Rouillay, séduit par l’idée de partage après une visite à Todmoren. Depuis, des dizaines de communes ont rejoint le mouvement à Lyon, Marseille ou Chartres, j’ai même vu des plants de tomates en libre service au bord d’un trottoir à Douarnenez, au fin fond du Finistère. Autonomes et participatifs, les potagers urbains offrent une nouvelle vision de la consommation…

Incroyable-Comestibles-food-giveaway
©Incroyables comestibles

L’agriculture urbaine, l’avenir des villes

Potagers verticaux, aquaponie, espaces urbains en friche transformés en potagers, toits plats aménagés voilà autant d’idées dont s’emparent de plus en plus les associations, les élus, les spécialistes de l’agriculture urbaine, les architectes paysagistes afin d’anticiper pénurie alimentaire éventuelle et crise économique toujours bien présente. Privilégier les circuits courts, recréer du lien social, les avantages valent plus cher que de l’or. En terme d’infrastructure, les potagers peuvent aussi servir la ville : à New York, l’agriculture sur les toits est rémunérée par la municipalité au nom de ses effets sur l’écrêtage des pics de ruissellement de l’eau de pluie…En d’autres termes, l’agriculture sur les toits évite de changer la taille des tuyaux de la ville !

Ces projets n’ont donc rien de « bobos » comme ils ont pu être définis par le passé mais sont intelligents, solidaires, bienveillants. Cela est un rêve pour moi qui utilise souvent le slogan « Just green it » et qui en ai fait un morceau techno l’an dernier Clip par Merlin basé sur un jeu vidéo que vous reconnaîtrez peut-être 😉 « Just green it »

Nous ne pouvons qu’espérer que nos villes seront de plus en plus nombreuses à adopter ce genre d’initiatives. C’est de cela dont nous avons besoin : de nourriture saine, d’amplitude financière, de proximité sociale, d’ancrage à la terre, d’exercice physique…

Anne de Bretagne, du haut de sa tour nantaise, est certainement très fière de voir sa population se préparer à vivre dans l’abondance.

Anna Marguerite Scheele ©Technosphere 2020

Walking Corona

"Où vont tous ces adultes dont pas un seul ne rit ?
Ils vont, bâillonnés, faire leurs courses en Caddy
Ou bien bosser d'arrache-pied pour les nantis
C'est un triste défilé, une macabre danse
La peur partout, rampante, suintante, rance
La propagande, les merdias qu'on ne peut plus croire
Nous vivons tous un moment crucial de l'Histoire
Un effondrement de nos sociétés trop grasses
Accompagné d'une sixième extinction de masse

Les Gates & Co veulent dominer l'humanité
Mais jamais nous n'abandonnerons la Liberté
Ces temps obscurs sont tout aussi lumineux
Des gens évoluent, deviennent radieux
Réalisent l'éternité, l'unité, la bonté du cœur
Et avancent sans peur vers un pur bonheur
Gaïa vibre de plus en plus haut, c'est scientifique et spirituel
Certains passent dans d'autres dimensions bien plus belles

Nous voilà en taule tout en payant le loyer
Nous enfermer, nous confiner, nous abuser
Alors qu'il aurait été si simple de dépister
Non ils mentent et créent la panique, c'est facile
Pour nous faire courber, nous rendre bien docile 
Mais les éveillés sont de plus en plus nombreux
Le monde peut s'unir et soumettre le ténébreux

C'est le moment d'évoluer, d'ouvrir notre cœur
Il est la clé d'or des dimensions supérieures,
Penser à travers lui, ascensionner encore, toucher la source pure, 
Y mettre toute notre âme, laisser tomber toutes les armures
Chasser l'ego bien formaté, cette raclure
Puis reconquérir notre puissance créatrice
Redevenir respectueux de la Terre notre matrice
En oubliant les anciens schémas erronés,
Tous issus d'une 3D matérialiste usée."

Anna Scheele, 23 avril 2020 ©Technosphere

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Plus tu vibres haut, moins tu tombes malade !

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Tout ce qui nous entoure est fréquences et énergies (cf. Tesla, Einstein, Kastler, Haramein…etc.). Nous émettons une fréquence, tout comme un chat, un arbre, une pierre, un lieu, un objet, une planète. Cette énergie est mesurable mais varie en permanence. C’est pourquoi, si vous allez voir un radiesthésiste sérieux il devra vous mesurer au moins 3 fois votre taux vibratoire puis en faire une moyenne.

Le taux vibratoire correspond à une intensité énergétique. Nous sommes composés d’énergie densifiée et nous vivons dans un «bain» d’énergie éthérée. Il y a interaction permanente entre ces différentes qualités de vibrations. Dans l’univers et sur cette planète, rien n’est neutre et immobile, au contraire ! Tout agit sur tout, tout vibre et ondule en permanence et tout est solidaire, relié. Si vous préférez, l’individualisme en énergétique n’existe pas, c’est pourquoi toute action de notre part agit sur ce qui nous entoure et le modifie. Il faudrait apprendre aux enfants dès leur plus jeune âge à veiller à la qualité de leurs pensées et de leurs paroles puisque l’on sait que cela impacte le taux vibratoire et les énergies qui l’entourent ! Nos pensées sont par ailleurs facilement captées par des électroencéphalogrammes (ou mieux encore, le magnétoencéphalogramme) qui démontrent qu’elles génèrent un champ d’énergie. On savait que nos cellules vibraient depuis les recherches du physicien russe Lakovsky dans les années 1920, recherches confirmées dans les années 1960 par un autre physicien, Fröhlich, un Anglais, prix Nobel, qui a confirmé les travaux de Lakovsky : «Oui, les cellules émettent des champs électromagnétiques.»

En Russie par exemple, la médecine vibratoire est officielle et l’utilisation de l’appareil « Mora » (appareil de biorésonance) est courante. Le Mora, de l’ingénieur et du médecin Morell et Rasch, mesure le taux vibratoire de chaque organe et en cas de vibration inadéquate, le Mora sait y remédier grâce à un procédé d’inversion de phase à 180° qui correspond à un antidote électrophysique ! Le Mora fait vibrer correctement vos cellules !

Mais la pensée ! Vibrante ! Cela est difficile à croire et pourtant l’influence de nos pensées et de nos émotions sur le corps a été démontrée par l’Institute of Heartmath en Californie qui a notamment prouvé que les émotions et les pensées modulaient le rythme cardiaque et le signal électromagnétique du coeur ! Audrey Mouge évoque le travail de cet institut et explique dans son livre¹ que :

« Chaque battement du coeur produit une impulsion électrique envoyée au reste du corps. Ce courant électrique transitant par un conducteur – le sang – crée ce champ électromagnétique. Son signal rythmique et électromagnétique est de loin le plus puissant puisqu’il est, par exemple, cinq mille fois plus fort que celui produit par le cerveau. Tous les signaux que produit le coeur ont une importance régulatrice pour le reste du corps. Non seulement son champ imprègne chacune de nos cellules mais il iradie également à l’extérieur de nous-mêmes. À tel point qu’il peut être mesuré jusqu’à une distance de trois mètres au moyen de détecteurs sensibles, les magnétomètres. Ce qu’on appelle le champ peut aussi être vu comme une onde porteuse d’informations. Le travail de l’Institute of Heartmath a clairement démontré que l’onde d’information du coeur était modulable par des modèles émotionnels. « Si l’on se sent en colère, frustré ou irrité, l’information qui est exprimée sur ce champ magnétique sera très différente que si l’on ressent de l’attention, de l’amour ou de la compassion, explique Rollin McCraty, directeur de recherche dans cet institut. Les émotions négatives comme la colère, l’irritation ou l’anxiété créent ce qu’on appelle des rythmes incohérents ou des modèles désordonnés. Les émotions positives, comme l’amour, le pardon, la gratitude amènent toutes à un rythme cardiaque ordonné. Lorsque nous apprécions la beauté d’un coucher de soleil, par exemple, notre coeur bat également à un rythme cohérent. or, la cohérence est l’état physiologique optimal qui facilite les processus naturels de régénération du corps. »²

Voici à ce propos un article que j’ai écrit sur la pratique de la « cohérence cardiaque » qui est simple et puissante !

Comment mesurer un taux vibratoire ?

Grâce à un radiesthésiste ou un magnétiseur habitué à pratiquer cela. Nous utilisons un pendule et une planche visuelle, le pendule pointe vers le taux vibratoire que l’on veut mesurer. Cette mesure se fait en unités Bovis. L’idéal est d’essayer d’atteindre un taux vibratoire de 12 500 UB (unités Bovis) pour rester en bonne santé.

 
unité bovis échelle - cadran
 
Mais je dois avouer que la mesure Bovis n’est pas absolument essentielle car nos émotions, nos sentiments et notre forme physique sont nos meilleurs « baromètres » énergétiques. Des émotions négatives comme la colère, l’anxiété, la jalousie, le doute ou la pire : la peur nous montrent clairement qu’il y a un manque d’harmonisation énergétique et que nous vibrons bas. Si nous réussissons à identifier le problème, nous pourrons changer la source de cette perturbation émotionnelle et avancer dans la vie en bonne santé émotionnelle et donc en bonne santé physique.

En choisissant d’évoluer vibratoirement, vous allez progresser sur le plan émotionnel, spirituel et physique mais vous allez également élever le taux vibratoire de votre entourage, par effet de résonance !

Un autre baromètre de la santé : la mesure des niveaux de conscience

David Hawkins, docteur en médecine, psychiatre, physicien, chercheur et conférencier de renommée mondiale et prix Nobel Linus Pauling a plusieurs fois expliqué lors de ses dizaines de conférences qu’en voyant le patient, il connaissait déjà la cause de la maladie.

Ce médecin, célèbre pour ses travaux sur la vibration et les niveaux de conscience, classe les émotions en fonction de leur fréquence.

Voici ce qu’il dit :  » Beaucoup de gens tombent malades parce qu’ils n’ont pas d’amour, ils n’ont que la douleur et la frustration. Les personnes ayant des fréquences de vibration inférieures à 200 sont facilement malades. » (La fréquence vibrationnelle est communément appelée « champ électromagnétique ».)

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David Hawkins a découvert que les personnes qui sont malades ont presque toutes des pensées négatives. Quelles sont les pensées qui ont des fréquences de vibration en dessous de 200 ? Les gens qui aiment réclamer, critiquer, accuser et avoir la haine des autres vibrent très bas et naturellement, ces personnes acquièrent facilement de nombreuses maladies différentes comme des cancers, des maladies cardiaques et vasculaires, toutes sortes de dépressions et autres dégénérescences dont je préfère taire le nom. Attention il existe d’autres causes aux maladies comme la génétique, l’alimentation ou l’environnement dans lequel nous vivons (pollutions de toutes sortes).

Hawkins témoigne que dans ce monde, la plus grande fréquence de vibration qu’il ait constatée était de 700. Quand une personne qui vibre haut apparaît, son énergie affecte le champ magnétique positivement. Inversement, quand une personne a beaucoup de pensées négatives, non seulement elle se rend malade mais en plus elle affecte (infecte ?!) aussi le champ magnétique environnant. En tant que magnétiseuse, j’explique à mes consultants comment se protéger de ces basses vibrations et comment augmenter les siennes propres.

Je concluerais en réaffirmant que les pensées et les émotions ont une grande influence sur la santé. Je vous suggère donc d’augmenter peu à peu la qualité de vos pensées et de vos émotions. J’ai justement écrit un Article qui vous explique comment élever ses vibrations !

❤ ❤ ❤

Notes : ¹ Mouge Audrey et Allix Stéphane, Le pouvoir guérisseur de l’Amour, une enquête aux frontières du divin, éditions La Martinière, 2015.

² The Living Matix, documentaire américain rélaisé par Greg Becker et Harry Massey, Emaginate Productions, 2009.

David R Hawkins, Letting go : The Pathway of Surrender, Hay House Inc, 2012

Anna Scheele ©Technosphere

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Idée gratuite pour semer ses graines

Vous récupérez vos coquilles d’oeufs cassées en deux et vous les laissez bouillir 3mn afin d’éliminer les bactéries. Percez ensuite un petit trou de drainage au fond de la coquille à l’aide d’une aiguille ou équivalent et placez-les dans une boîte d’oeufs vide. Quand la boîte est pleine, vous remplissez de terreau de semis ou de terre légère aux 2/3 vos demi-coquilles. Il ne vous reste qu’à y placer votre petite graine qui sera heureuse de germer bien à l’abri. Bien sûr vous respectez les conseils de germination liés à chaque variété et vous arrosez régulièrement vos petites coquilles que vous aurez placées à la lumière.

Écrivez sur la coquille avec un feutre indélébile le nom du plant que vous avez semé.

Les coquilles contiennent des nutriments utiles à la jeune pousse comme du calcium et des sels minéraux donc les plants seront plus costauds que ceux qui auront germé dans un simple petit godet.

Il ne vous restera qu’à « planter » la coquille à l’emplacement souhaité en prenant soin d’écraser légèrement le fond afin que les racines trouvent leur chemin dans le sol. Enfin, la coquille est complètement biodégradable donc totalement écologique. C’est simple, efficace et gratuit.

Merci la nature 🙂 agatha omg

Coeurdialement, Anne Scheele ©Technosphere 2019

Vaincre la fatigue grâce à la naturopathie

La fatigue est l’une des causes les plus courantes qui pousse les gens à consulter. D’ailleurs, il n’y a jamais eu autant de « burn out » ( épuisement physique et nerveux) qu’aujourd’hui. Un médecin traditionnel « ne trouvera pas l’origine de votre fatigue dans plus de la moitié des cas » (cf. « Plantes et bien être » n°55, décembre 2018) or, sans savoir pourquoi vous êtes si éreinté, vous aurez beaucoup moins de chances d’aller mieux. Heureusement, la fatigue disparaît souvent mais quand elle s’installe durablement, que faire ?

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