La descendante d’Eisenhower dénonce la cabale et ses projets diaboliques

Laura Eisenhower est l’arrière petite-fille de l’ancien président américain Dwight David Eisenhower (1890-1969). L’ancien général cinq étoiles, qui commandait les forces alliées en Europe pendant la seconde guerre mondiale est connu pour avoir établi des contacts exo-planétaires avec des êtres de type « nordiques » mais aussi avec ceux que l’on nomme les « gris » rapporte le Daily Mail en 2012. Les passionnés d’ufologie le savent depuis longtemps, mais c’est la première fois qu’une confirmation nous provient d’un ancien consultant du Congrès américain et du Pentagone, dans l’émission de Frank Skinner, « Opinionated », sur la BBC2. D’après lui, les entretiens auraient eu lieu en 1954 à la base Air Force d’Holloman, au Nouveau Mexique.

M.Good a précisé que de nombreuses personnes avaient été témoins de ces rencontres en ajoutant que :« Les Aliens ont établi des contacts formels et informels avec des milliers de gens à travers le monde et de tous horizons ».

Laura est une chercheuse et conférencière sur les thèmes de la santé, de l’exo-politique, de l’alchimie, de la métaphysique et de l’histoire galactique. L’un de ses buts est de nous libérer de la boucle temporelle holographique de troisième densité (ou troisième dimension), des faux systèmes archoniques et du complexe militaro-industriel. Elle dévoile des agendas cachés afin que nous puissions reprendre notre pouvoir. Elle souhaite par dessus tout inspirer la conscience d’unité et nous ramener au point zéro énergétique, au champ unifié et à la totalité de nos pouvoirs divins. (cf. biographie de son site indiqué en source en bas de cet article).

Pour Laura, les « élites » ont conclu des accords avec des forces noires pour réaliser leurs plans criminels, en utilisant l’argent des contribuables. Ils auraient des projets secrets dans l’espace, des technologies qui nous sont inconnues et une volonté de contrôle mondial, bafouant ainsi les lois cosmiques les plus basiques.

Laura s’adresse à l’État Profond : «… ne croyez pas que vous pouvez soudainement nous mettre des vaccins dans le bras pour nous utiliser comme votre propriété, quelque chose d’autre vient derrière tout ça, désactivant complètement votre capacité à nous extorquer un consentement. Nous sommes des êtres souverains et ce plan est une violation des codes de la Création ».

Elle parle d’extra-terrestres bienveillants et malveillants mais aussi de manipulation d’ADN et de manipulation tout court d’ailleurs, afin de nous maintenir dans l’ignorance, la division et la souffrance. Elle dit que nous devons cesser de nourrir ces monstres. Et elle a bien raison. Nous devons absolument retrouver notre pleine conscience et redevenir des humains libres et souverains.

Je pense que la situation mondiale actuelle dépasse largement notre humanité et qu’elle résulte d’un conflit multidimensionnel et millénaire.

Voici sa prise de parole sous titrée en français, à vous de vous faire une opinion.

Mise à jour du 1er juin 2021 : la chaîne youtube sur laquelle elle s’exprimait a été suprimée, le censure va grandissant, aussi je vous envoie vers la plateforme Odyssée qui est encore libre et sur laquelle sa vidéo a été relayée : https://odysee.com/@LaV%C3%A9rit%C3%A9Vraie(Autres):2/laura-eisenhower-et-loligarchie-mondiale-luciferienne:2

Bien à vous, Anna Scheele ©Technosphere

Sources :

https://www.dailymail.co.uk/news/article-2100947/Eisenhower-secret-meetings-aliens-pentagon-consultant-claims.html?ito=feeds-newsxml

https://www.whitehouse.gov/about-the-white-house/presidents/dwight-d-eisenhower/

Le site de Laura Eisenhower https://cosmicgaia.org/

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Nantes devient un potager XXL !

25 000 m² répartis sur 50 sites de la ville de Nantes ont été bichonnés pour recevoir semis et plants. Des serres, des jardins partagés, des zones de gazon inutiles sont ensemencés…Peut-être bientôt des fraises cours Cambronne et des patates aux Douves du château, une touffe de persil devant le bahut et des haricots derrière la gare ? C’est bien l’idée qui a germé au sein des locaux du SEVE (service des espaces verts de la ville) et du CCAS (centre communal d’action sociale).

Baptisé « Paysages Nourriciers« , ce projet est né de la situation liée au covid 19 : « La crise a précipité de nombreux foyers dans la précarité : perte d’emploi, de salaire, détresse sociale et alimentaire… Les associations d’aide alimentaire, qui voient affluer de plus en plus de familles n’ayant plus les moyens de se nourrir et d’accéder à une alimentation saine et de qualité, tirent la sonnette d’alarme », explique Johanna Rolland, maire de Nantes. (Journal « Métropole de Nantes »).

L’alarme a bien été entendue : « Plutôt que de créer un événement sur un seul site, comme souvent l’été, on s’est dit qu’on avait un rôle à jouer dans cette période pas simple », raconte Romaric Perrocheau, responsable du SEVE, au journal Ouest France.

Le projet est d’envergure. Au total, le SEVE espère ramasser 25 tonnes de légumes qui seront distribués aux familles en difficulté via notamment la Banque alimentaire, le Secours populaire, les Restos du cœur et les associations de quartier.

Nantes devient la seule ville à ma connaissance à posséder un potager aussi immense, même Paris ne lui arrive pas à la cheville avec son projet de « plus grande ferme urbaine au monde » d’une surface de 14.000 m2 sur le toit du nouveau hall du Parc des Expositions au coeur du 15ème arrondissement. D’autant que le projet parisien n’a rien de solidaire car il sera géré par des maraîchers qui vendront leurs produits.

Ainsi, à Nantes, « environ 1 000 foyers pourraient recevoir environ 25 kg de légumes chacun, au fil des récoltes. Selon les variétés, les légumes seront récoltés entre juillet et octobre, avec le soutien des habitants volontaires et de bénévoles d’associations nantaises. » (Journal « Métropole de Nantes »).

Et cerise sur le gâteau, plusieurs jardins partagés s’engagent également à offrir leurs surplus de légumes. Elle n’est pas splendide la nature humaine parfois ?

Au total, à Nantes, ce sont donc 50 lieux de production répartis dans les 11 quartiers de la ville qui accueilleront ces potagers solidaires. Autre merveille : tout est naturel et local, sans aucun pesticide, garantit le SEVE qui s’est fait conseiller par des spécialistes de la permaculture pour mener à bien cette opération solidaire. Au total, 10 000 plantes potagères sont plantées en ce moment ! Pour télécharger la carte des 50 sites des « Paysages nourriciers » c’est ici.

Et attendez ! Pour parfaire le tout, Nantes a aussi mis en place un système de collecte des déchets organiques et de composteurs collectifs ce qui allège les poubelles tout en créant du compost afin d’enrichir toutes ces cultures. Ah ! C’est merveilleux !

Cependant, l’idée n’est pas nouvelle

Surtout dans la ville de Nantes qui compte déjà beaucoup de jardins partagés et d’associations comme Incroyables Comestibles Nantes ou Ça pousse en Amont ou encore Collectif Permaculture 44.

Elle est encore moins nouvelle si l’on observe l’Histoire. En effet, la gestion en commun de terrains vacants fut souvent dictée par des périodes de crises économiques et des guerres : évoquons les « Liberty Gardens » de la 1ère guerre mondiale et les « Victory Gardens » de la 2ème guerre mondiale. Encore plus tôt, au Moyen-âge, en Europe, toutes les terres étant détenues par des Seigneurs, des communautés de villageois se rebellent et se rassemblent sur des terres collectives afin de défendre leurs droits d’usage.

Plus proche de nous dans le temps, c’est aussi ce que firent des mères de famille anglaises en détresse, en 2008, à Todmorden, une ville industrielle ruinée de 14 000 habitants au nord de Manchester. Sur fond de grave crise économique, ces mamans bien inspirées décidèrent d’agir sur le front crucial de la nourriture en créant les « Incroyables comestibles« , ces fruits et légumes cultivés localement par l’ensemble des habitants en pleine ville ! Chaque citoyen entretient bénévolement un carré de terre pour la collectivité et se sert donc gratuitement. En trois mois, la petite ville devient autosuffisante en légumes !

Officiellement apparus en France en 2011, les « Incroyables comestibles » français sont exportés par François Rouillay, séduit par l’idée de partage après une visite à Todmoren. Depuis, des dizaines de communes ont rejoint le mouvement à Lyon, Marseille ou Chartres, j’ai même vu des plants de tomates en libre service au bord d’un trottoir à Douarnenez, au fin fond du Finistère. Autonomes et participatifs, les potagers urbains offrent une nouvelle vision de la consommation…

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©Incroyables comestibles

L’agriculture urbaine, l’avenir des villes

Potagers verticaux, aquaponie, espaces urbains en friche transformés en potagers, toits plats aménagés voilà autant d’idées dont s’emparent de plus en plus les associations, les élus, les spécialistes de l’agriculture urbaine, les architectes paysagistes afin d’anticiper pénurie alimentaire éventuelle et crise économique toujours bien présente. Privilégier les circuits courts, recréer du lien social, les avantages valent plus cher que de l’or. En terme d’infrastructure, les potagers peuvent aussi servir la ville : à New York, l’agriculture sur les toits est rémunérée par la municipalité au nom de ses effets sur l’écrêtage des pics de ruissellement de l’eau de pluie…En d’autres termes, l’agriculture sur les toits évite de changer la taille des tuyaux de la ville !

Ces projets n’ont donc rien de « bobos » comme ils ont pu être définis par le passé mais sont intelligents, solidaires, bienveillants. Cela est un rêve pour moi qui utilise souvent le slogan « Just green it » et qui en ai fait un morceau techno l’an dernier Clip par Merlin basé sur un jeu vidéo que vous reconnaîtrez peut-être 😉 « Just green it »

Nous ne pouvons qu’espérer que nos villes seront de plus en plus nombreuses à adopter ce genre d’initiatives. C’est de cela dont nous avons besoin : de nourriture saine, d’amplitude financière, de proximité sociale, d’ancrage à la terre, d’exercice physique…

Anne de Bretagne, du haut de sa tour nantaise, est certainement très fière de voir sa population se préparer à vivre dans l’abondance.

Anna Marguerite Scheele ©Technosphere 2020