Le Labo (Partie 2) : L’alchimie continue

Je suis presque sidérée de voir à quel point ma maison n’est pas une simple baraque, mais un véritable temple. Ce lieu que j’ai conçu sans le savoir selon les principes de l’alchimie continue de se transformer, de s’affiner, de se purifier. Chaque changement matériel correspond à un mouvement intérieur. Tout s’y répond, tout s’y alchimise. Si vous voulez lire la partie 1 https://technosphere.live/2025/07/23/le-labo-une-maison-alchimique-guidee-par-lesprit/

Récemment, j’ai repeint la moitié de la maison en blanc. Le grand mur rouge du salon est passé à la blancheur, mais pas entièrement. Il reste encore une porte, quelques étagères et un pan de mur où le rouge subsiste, comme une mémoire du feu. C’est plus équilibré qu’avant. Le noir, le rouge et le blanc cohabitent encore, mais la lumière domine. Le blanc a pris le dessus, la maison s’est purifiée.

Cette épure a ouvert un champ nouveau : la chambre bleue de Merlin. De lieu d’enfance, elle est devenue atelier vibratoire. C’est là que j’ai installé mon petit studio. Là où régnaient autrefois les rires et les rêves d’enfant résonnent aujourd’hui des fréquences de cristal et de lumière. Le bleu du lieu y participe, couleur de l’eau, de l’esprit et de la transparence. En alchimie, le bleu est la couleur de la pacification, du passage vers les plans subtils, de la communication entre les mondes. Il relie le souffle et la matière, le silence et le son.

Je l’éclaire d’une lumière violette, celle-là même que j’utilisais autrefois pour mes chill-out dans les teufs magiques. Le violet est la fusion du rouge et du bleu, la rencontre du feu et de l’esprit. Il marque le seuil de la transmutation spirituelle, la préparation à un nouveau cycle. C’est une chambre qui vibre entre le bleu et le violet, un espace de passage entre l’invisible et la création. Sur mon bureau blanc, entre les plumes et les instruments, tout est dédié à la vibration juste. Sous le nom de Dr Free Fréquences, je diffuse désormais ces sons qui guérissent, apaisent et élèvent. Et bientôt, j’y intégrerai du rythme, du groove, pour la joie, pour la danse. Car danser, c’est alchimiser le corps, c’est faire circuler la lumière dans la matière.

Et, comme toujours, rien n’a été placé par hasard. Dans le salon, j’ai suspendu un ancien bouclier d’enfant en bois sur lequel figure un dragon rouge, tellurique, presque inquiétant, souvenir de Merlin. Il fait face au dragon indonésien sculpté dans une noix de coco qui veille au plafond. En reliant ces deux gardiens, j’ai découvert que leur axe invisible pointe exactement vers le coffre bleu.

Ce coffre, je l’avais acheté à Saint-Nazaire, à l’époque où j’y avais été nommée professeure de lettres, quand Merlin était encore bébé. Dedans, j’ai rangé toutes mes photos, mes lettres, les traces matérielles de ma mémoire. Les années m’avaient déjà amenée à trier, à ne garder que la substantifique moelle de mes souvenirs. Tout tient désormais dans ce coffre bleu sur lequel est peinte une embarcation voguant sur la mer. Il se trouve que la direction de cet alignement, du dragon du plafond à celui du mur jusqu’au coffre, pointe vers le sud-ouest. Exactement la direction du Cap-Vert, ce lieu que j’évoque parfois comme un possible port d’arrivée si la pression sociale et les chemtrails continuent de s’intensifier ici.

J’ai aussi continué à purifier l’espace. Quatre grandes étagères ont disparu, libérant une circulation d’énergie nouvelle. Les livres restants respirent, chaque objet a retrouvé sa juste place. La maison est encore plus épurée, encore plus claire, encore plus vibrante. Plus je simplifie, plus la créativité s’intensifie. Comme si la lumière avait besoin de vide pour se déployer. J’ai davantage d’idées, que ce soit pour mes consultations, pour mes protocoles, ou pour mes créations sonores et musicales. Tout s’alimente mutuellement, dans une boucle vivante et inspirée.

Et il faut dire que cette purification n’est pas qu’extérieure. J’ai vécu plusieurs morts. Celle de la musicienne d’abord, ou plutôt celle des illusions autour de la musique. J’ai vu de près ce qu’il y avait de faux, d’artificiel, d’égoïste dans ce milieu, et j’ai choisi de m’en détacher sans jamais renoncer à la création elle-même. J’ai gardé la musique pure, libre, vivante. J’ai gardé la vibration.

Puis il y a eu celle de la professeure. J’avais obtenu le CAPES, j’aimais profondément transmettre aux ados, les voir s’éveiller à eux-mêmes. Mais je n’ai jamais aimé l’État, ni son système, ni son hypocrisie, ni les collègues jamais sortis eu mêmes du système scolaire et qui se croient très intelligents. J’ai fait ma part, j’ai joué le jeu avec les gosses, j’ai donné tout ce que je pouvais donner à la jeunesse. Et un jour, j’ai dit stop. J’ai démissionné, jurant de ne plus jamais travailler pour cette bande de nazes. C’était une mort symbolique, mais parfaitement cohérente.

Et puis, il y a eu la maman. Merlin est parti depuis quatre ans maintenant. Il a sa vie, sa compagne, son travail, et une vie sociale très dense. Il déteste le téléphone, il n’aime pas communiquer à distance, et je le respecte profondément pour cela. Mais forcément, au début, ce silence a été un choc. Nous étions très proches, très complices. Je l’ai élevé seule, et notre lien avait quelque chose d’unique, presque fusionnel. Le voir s’éloigner, sans vraiment pouvoir échanger comme avant, a été une épreuve. Entrer dans sa chambre sans pleurer a été un passage. Aujourd’hui, cette pièce bleue et violette est devenue un lieu de création, de fréquence, de lumière. C’est le passage d’un lien quotidien à un lien plus subtil, vivant autrement, au-delà des mots et des appels.

Ces transformations successives ont épuré tout ce que je croyais être. À chaque étape, quelque chose d’ancien s’efface puis la vie circule plus librement.

Et du côté du corps, il s’est produit un phénomène étrange. C’est comme si je m’étais figée dans le temps, suspendue à un instant précis, celui où j’ai pleinement compris que c’est moi qui tenais les commandes. Depuis, ce temps « Chronos » ne laisse plus de traces. Ce n’est pas de la résistance, ni du déni, mais une conscience : celle d’habiter son corps en conscience et souveraineté totales.

Je continue les consultations avec plaisir, mais différemment. J’aime transmettre, apprendre, rendre les gens autonomes. J’aime qu’ils comprennent le sens de ce qu’ils font, qu’ils deviennent créateurs de leur santé et de leur énergie. En parallèle, j’écris, je crée des protocoles, je compose, j’inspire. Tout cela participe de la même œuvre : purifier, comprendre, transmettre, créer. L’alchimie, c’est vivre en conscience, et insuffler la vie, in spirite, comme on souffle doucement sur une braise pour ranimer le feu.

J’étais d’ailleurs en plein nettoyage (encore un !), triant mes vieux vinyles dans un grand élan de légèreté. L’un d’eux me paraissait vraiment sans intérêt, un disque sans âme, éraflé, presque mort. Alors, sans réfléchir, je l’ai lancé dehors comme un frisbee, en direction des poubelles, dans un geste libérateur. Un peu plus tard, en allant le ramasser, le soleil tombait pile dessus. J’ai lu ce qui était écrit sur l’étiquette. D’un côté, P.J. Happy Days. De l’autre, Deconstruction. Et juste au-dessus, deux lettres : DC.

J’ai éclaté de rire. DC. Le même sigle que sur ma plaque de voiture. Et forcément, à la première lecture, j’ai entendu décès (on est bien d’accord que je refuse totalement le moindre accident). Mais le mot, le signe, vibraient autrement. En alchimie, la mort n’est jamais une fin. C’est une étape, une décomposition nécessaire pour que la lumière apparaisse. C’est d’ailleurs le titre d’un roman d’Agatha Christie, La mort n’est pas une fin. Et ce clin d’œil m’a amusée, car mon propre pseudonyme, Anna Scheele, vient lui aussi d’un livre d’Agatha Christie, Rendez-vous à Bagdad. J’ai toujours apprécié Agatha, son sens du mystère, sa façon de tisser les signes. Tout cela résonne à merveille.

Le symbole, pourtant, allait plus loin. D et C. Deux lettres, deux mondes. Si l’on se place du point de vue cabalistique, chaque lettre est une vibration, un principe vivant. D correspond à la matière dense, à la fondation, à la porte de la création concrète. C renvoie à la conscience, au ciel, à la colombe, à la clarté qui descend. L’une incarne la base terrestre, l’autre la fréquence lumineuse. Entre les deux se déploie tout le mouvement alchimique : la matière qui se purifie et l’esprit qui s’incarne. Et c’est là que je vois à quel point tout est cohérent. Car au moment même où je poursuis cette œuvre d’épuration intérieure et extérieure, je guide aussi d’autres êtres à purifier leur corps avec le protocole ImmunoPur, qui agit sur un autre plan mais obéit au même principe : dissoudre, clarifier, éliminer, transmuter. L’alchimie est la même, qu’elle s’opère dans la pierre, dans le corps ou dans la conscience.

Et puis, dans un autre plan, District of Columbia (comme dans Washington, D.C.) s’est imposé à mon esprit. Le district de la colombe. Ce territoire symbolique où souffle l’Esprit, où descend la lumière. Et puisque j’habite moi-même un village nommé Saint-Esprit , tout s’est aligné. Le Saint-Esprit, la colombe, la forêt, la blancheur. Comme si ma maison, que j’ai moi-même conçue et façonnée selon mon intuition, avait été dessinée dans un champ vibratoire d’une précision surnaturelle.

Sur le disque, Happy Days d’un côté, Deconstruction de l’autre. Il y a eu les Happy Days d’autrefois, ceux de l’enfance de Merlin, des jeux, des rires et de la maison pleine de vie. Aujourd’hui, c’est la Déconstruction. Pas la fin, mais le passage. La lumière blanche après le rouge du feu. La joie demeure, mais elle a changé de fréquence.

Oui, ce DC me suit. Sur le vinyle, sur la voiture, dans les signes. Et moi, au volant de ma voiture immatriculée DC, je souris.
Parce que le voyage continue.
Parce que la colombe vole au-dessus du Labo en faisant un clin d’oeil aux dragons ! 😉

Anna Scheele ©Technosphere, octobre 2025


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Un documentaire en OR qui rend l’éveil possible

Je partage ici un documentaire exceptionnel « Samadhi, le film », présenté en français dans ces deux extraordinaires vidéos de spiritualité, parmi les meilleures que j’ai pu voir ! L’auteur navigue à travers la notion indienne du « Samadhi » qui désigne l’union transcendante (la fin de la dualité, cf. la loi de l’UN !)

Qui nous sommes-nous ? Le réalisateur de ces vidéos apporte une réponse, développée grâce à des images subliminales, une musique transcendentale et un discours qui va probablement résonner très fort en vous… L’auteur ne s’adresse pas à notre mental mais à notre coeur et à nos mémoires millénaires…

Ce documentaire rend l’éveil possible.

C’est ce que je nous souhaite à tous.

De plus, ce documentaire est une invitation à se mettre en action et à pratiquer plutôt que de simplement assimiler mentalement.

« Nous ne sommes pas des êtres humains en train d’avoir une expérience spirituelle, nous sommes des êtres spirituels en train d’avoir une expérience humaine ». Alejandro Jodorowsky

Je vous souhaite un excellent moment,

Anna Tksf


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Plus tu vibres haut, moins tu tombes malade !

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2,00 €

Tout ce qui nous entoure est fréquences et énergies (cf. Tesla, Einstein, Kastler, Haramein…etc.). Nous émettons une fréquence, tout comme un chat, un arbre, une pierre, un lieu, un objet, une planète. Cette énergie est mesurable mais varie en permanence. C’est pourquoi, si vous allez voir un radiesthésiste sérieux il devra vous mesurer au moins 3 fois votre taux vibratoire puis en faire une moyenne.

Le taux vibratoire correspond à une intensité énergétique. Nous sommes composés d’énergie densifiée et nous vivons dans un «bain» d’énergie éthérée. Il y a interaction permanente entre ces différentes qualités de vibrations. Dans l’univers et sur cette planète, rien n’est neutre et immobile, au contraire ! Tout agit sur tout, tout vibre et ondule en permanence et tout est solidaire, relié. Si vous préférez, l’individualisme en énergétique n’existe pas, c’est pourquoi toute action de notre part agit sur ce qui nous entoure et le modifie. Il faudrait apprendre aux enfants dès leur plus jeune âge à veiller à la qualité de leurs pensées et de leurs paroles puisque l’on sait que cela impacte le taux vibratoire et les énergies qui l’entourent ! Nos pensées sont par ailleurs facilement captées par des électroencéphalogrammes (ou mieux encore, le magnétoencéphalogramme) qui démontrent qu’elles génèrent un champ d’énergie. On savait que nos cellules vibraient depuis les recherches du physicien russe Lakovsky dans les années 1920, recherches confirmées dans les années 1960 par un autre physicien, Fröhlich, un Anglais, prix Nobel, qui a confirmé les travaux de Lakovsky : «Oui, les cellules émettent des champs électromagnétiques.»

En Russie par exemple, la médecine vibratoire est officielle et l’utilisation de l’appareil « Mora » (appareil de biorésonance) est courante. Le Mora, de l’ingénieur et du médecin Morell et Rasch, mesure le taux vibratoire de chaque organe et en cas de vibration inadéquate, le Mora sait y remédier grâce à un procédé d’inversion de phase à 180° qui correspond à un antidote électrophysique ! Le Mora fait vibrer correctement vos cellules !

Mais la pensée ! Vibrante ! Cela est difficile à croire et pourtant l’influence de nos pensées et de nos émotions sur le corps a été démontrée par l’Institute of Heartmath en Californie qui a notamment prouvé que les émotions et les pensées modulaient le rythme cardiaque et le signal électromagnétique du coeur ! Audrey Mouge évoque le travail de cet institut et explique dans son livre¹ que :

« Chaque battement du coeur produit une impulsion électrique envoyée au reste du corps. Ce courant électrique transitant par un conducteur – le sang – crée ce champ électromagnétique. Son signal rythmique et électromagnétique est de loin le plus puissant puisqu’il est, par exemple, cinq mille fois plus fort que celui produit par le cerveau. Tous les signaux que produit le coeur ont une importance régulatrice pour le reste du corps. Non seulement son champ imprègne chacune de nos cellules mais il iradie également à l’extérieur de nous-mêmes. À tel point qu’il peut être mesuré jusqu’à une distance de trois mètres au moyen de détecteurs sensibles, les magnétomètres. Ce qu’on appelle le champ peut aussi être vu comme une onde porteuse d’informations. Le travail de l’Institute of Heartmath a clairement démontré que l’onde d’information du coeur était modulable par des modèles émotionnels. « Si l’on se sent en colère, frustré ou irrité, l’information qui est exprimée sur ce champ magnétique sera très différente que si l’on ressent de l’attention, de l’amour ou de la compassion, explique Rollin McCraty, directeur de recherche dans cet institut. Les émotions négatives comme la colère, l’irritation ou l’anxiété créent ce qu’on appelle des rythmes incohérents ou des modèles désordonnés. Les émotions positives, comme l’amour, le pardon, la gratitude amènent toutes à un rythme cardiaque ordonné. Lorsque nous apprécions la beauté d’un coucher de soleil, par exemple, notre coeur bat également à un rythme cohérent. or, la cohérence est l’état physiologique optimal qui facilite les processus naturels de régénération du corps. »²

Voici à ce propos un article que j’ai écrit sur la pratique de la « cohérence cardiaque » qui est simple et puissante !

Comment mesurer un taux vibratoire ?

Grâce à un radiesthésiste ou un magnétiseur habitué à pratiquer cela. Nous utilisons un pendule et une planche visuelle, le pendule pointe vers le taux vibratoire que l’on veut mesurer. Cette mesure se fait en unités Bovis. L’idéal est d’essayer d’atteindre un taux vibratoire de 12 500 UB (unités Bovis) pour rester en bonne santé.

 
unité bovis échelle - cadran
 
Mais je dois avouer que la mesure Bovis n’est pas absolument essentielle car nos émotions, nos sentiments et notre forme physique sont nos meilleurs « baromètres » énergétiques. Des émotions négatives comme la colère, l’anxiété, la jalousie, le doute ou la pire : la peur nous montrent clairement qu’il y a un manque d’harmonisation énergétique et que nous vibrons bas. Si nous réussissons à identifier le problème, nous pourrons changer la source de cette perturbation émotionnelle et avancer dans la vie en bonne santé émotionnelle et donc en bonne santé physique.

En choisissant d’évoluer vibratoirement, vous allez progresser sur le plan émotionnel, spirituel et physique mais vous allez également élever le taux vibratoire de votre entourage, par effet de résonance !

Un autre baromètre de la santé : la mesure des niveaux de conscience

David Hawkins, docteur en médecine, psychiatre, physicien, chercheur et conférencier de renommée mondiale et prix Nobel Linus Pauling a plusieurs fois expliqué lors de ses dizaines de conférences qu’en voyant le patient, il connaissait déjà la cause de la maladie.

Ce médecin, célèbre pour ses travaux sur la vibration et les niveaux de conscience, classe les émotions en fonction de leur fréquence.

Voici ce qu’il dit :  » Beaucoup de gens tombent malades parce qu’ils n’ont pas d’amour, ils n’ont que la douleur et la frustration. Les personnes ayant des fréquences de vibration inférieures à 200 sont facilement malades. » (La fréquence vibrationnelle est communément appelée « champ électromagnétique ».)

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David Hawkins a découvert que les personnes qui sont malades ont presque toutes des pensées négatives. Quelles sont les pensées qui ont des fréquences de vibration en dessous de 200 ? Les gens qui aiment réclamer, critiquer, accuser et avoir la haine des autres vibrent très bas et naturellement, ces personnes acquièrent facilement de nombreuses maladies différentes comme des cancers, des maladies cardiaques et vasculaires, toutes sortes de dépressions et autres dégénérescences dont je préfère taire le nom. Attention il existe d’autres causes aux maladies comme la génétique, l’alimentation ou l’environnement dans lequel nous vivons (pollutions de toutes sortes).

Hawkins témoigne que dans ce monde, la plus grande fréquence de vibration qu’il ait constatée était de 700. Quand une personne qui vibre haut apparaît, son énergie affecte le champ magnétique positivement. Inversement, quand une personne a beaucoup de pensées négatives, non seulement elle se rend malade mais en plus elle affecte (infecte ?!) aussi le champ magnétique environnant. En tant que magnétiseuse, j’explique à mes consultants comment se protéger de ces basses vibrations et comment augmenter les siennes propres.

Je concluerais en réaffirmant que les pensées et les émotions ont une grande influence sur la santé. Je vous suggère donc d’augmenter peu à peu la qualité de vos pensées et de vos émotions. J’ai justement écrit un Article qui vous explique comment élever ses vibrations !

❤ ❤ ❤

Notes : ¹ Mouge Audrey et Allix Stéphane, Le pouvoir guérisseur de l’Amour, une enquête aux frontières du divin, éditions La Martinière, 2015.

² The Living Matix, documentaire américain rélaisé par Greg Becker et Harry Massey, Emaginate Productions, 2009.

David R Hawkins, Letting go : The Pathway of Surrender, Hay House Inc, 2012

Anna Scheele ©Technosphere


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Le Livre tibétain des morts OU Le Bardo Thödol : le grand livre de la libération naturelle par la compréhension dans le monde intermédiaire

Découvert par Karma LINGPA, traduit et commenté par Robert Thurman – Collection « De l’Esprit », édition Christian de Bartillat, 1995

Ce livre totalement édifiant peut être comparé à un guide de voyage pour l’après vie terrestre et en effet, personne n’irait à l’autre bout du monde sans se documenter un minimum n’est-ce pas ? Ce livre constitue justement un guide afin de suivre le bon chemin une fois notre dernier souffle expiré. Beaucoup s’imaginent que le néant les attend mais ils seront surpris de s’apercevoir que non.

Les conseils qui sont délivrés dans cet ouvrage exceptionnel sont issus des écrits et de la science tantriques. Ils permettent d’éviter de renaître dans une vie de souffrances, de confusions et dominée par la non maîtrise des émotions. C’est l’enseignement qui permet à ceux qui ne méditent pas de découvrir la voie secrète. Ce livre constitue donc un trésor inestimable.

Sa lecture est difficile et longue, c’est pourquoi j’ai décidé d’offrir les pistes de compréhension principale à mes lecteurs, tout en vous encourageant à tenter de le lire malgré tout.

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Ce livre a été écrit par Padma Sambhava, une émanation du Bouddha de la Vérité-Béatitude-Emanation qui, selon la légende, serait né dans une fleur de Lotus. Padma nous donne un accès pratique à notre liberté et à la liberté du « non-moi ». Ce livre révèle l’art de vivre une mort créatrice et nous invite à réaliser certaines choses bien précises :

    1. Se renseigner sur l’aspect scientifique du processus de la mort pour savoir à quoi s’attendre. Cela peut aussi  nous aider à mieux appréhender la mort d’un proche.
    2. Développer l’imagination afin d’envisager de façon positive nos futurs royaumes possibles : s’alimenter des descriptions visionnaires des paradis les plus délicieux, des beautés célestes les plus merveilleuses (par exemple lire Le Sukhatavi du Bouddha Amithaba, le pur pays de la félicité ou bien lire des auteurs anciens comme Homère et Hésiode, Aristophane, Platon, Cicéron, Virgile, Dante, d’Aubigné et Milton, on peut aussi se tourner vers les poètes et les romanciers de science fiction).
    3. Se préparer moralement : se détacher des choses qui nous obsèdent et des choses matérielles, développer la générosité, la sensibilité et la tolérance vis à vis des autres. Se rappeler que l’on pourrait être mort, relativiser les tracas.
    4. Se préparer par différentes sortes de méditations : buddhist-1807518_1920La méditation apaisante ou la concentration totaleLa méditation par la vision pénétrante qui permet de réaliser que nous n’avons pas d’identité fixe (le « non-moi » étant l’une des portes de la libération). ♥ La méditation thérapeutique : le but étant de former notre esprit à prendre une orientation positive ; par exemple, méditer sur l’amour et donner plus d’intensité à l’amour que l’on porte aux autres ou méditer sur la patience pour se débarrasser de ses attitudes coléreuses et donc augmenter notre tolérance, etc. ♥ La méditation de l’imagination : on visualise des lieux ou des évènements favorables car cela peut-être utile face aux situations inédites qui nous attendent après la mort physique. ♥ Méditation et sommeil : le sommeil peut être une répétition de la dissolution dans la mort, on peut s’imaginer franchir les 8 étapes qui nous conduisent de la claire lumière au sommeil profond et l’état de rêve peut être converti en pratique de l’état post-portem (ce que les Tibétains appellent « l’état intermédiaire »). Si en plus nous parvenons à conscientiser que nous rêvons, nous aurons une bien meilleure chance de reconnaître cette situation dans le monde intermédiaire après la mort. ♥ La méditation quotidienne en récitant un mantra (les tibétains récitent le « Om Mani padme hum » : Tout va bien dans l’univers, l’énergie du bien et de l’amour est partout ») mais on peut inventer toutes sortes de mantras (« j’aime tout », « merci pour tout », etc.), un mantra peut être d’une grande aide au moment de la mort et de la période intermédiaire. Enfin, la méditation quotidienne c’est aussi simplement imaginer se débarrasser de ses obsessions en faisant la vaisselle ou imaginer que quand on passe une porte, c’est celle de l’illumination, etc.
    5. La préparation intellectuelle : l’école ne nous fait qu’apprendre à étudier car l’étude doit durer une vie entière ! Apprendre des choses sur la nature de la vie, la nature de la libération du « moi » et de l’environnement, les enseignements sur la vacuité, le « non-moi » et la relativité, l’esprit d’illumination, de l’Amour et de la compassion. Apprendre comment développer ses qualités morales, intellectuelles (cf. le développement personnel très en vogue actuellement).
    6. La pratique du yoga tantrique inégalé : ce yoga est la discipline de formation qui transcende la mort. Ce yoga permet de condenser des éternités de vies en une seule existence. Ce yoga nous viendrait des grands initiés indiens tels que Padma Sambhava et les pratiquants du tantra ayant atteint la bouddhéité dans leur corps ordinaire mais qui sont restés pour aider les autres à atteindre la libération.

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