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Champignons et cancer : ce que la science découvre (et comment ImmunoPur s’inscrit dans cette approche)

Depuis plusieurs décennies, la recherche scientifique a mis en lumière les liens entre les micro-organismes et la santé humaine. Si les bactéries du microbiote sont aujourd’hui bien connues du grand public, les champignons, eux, sont souvent oubliés. Pourtant, des études récentes démontrent que les champignons et levures, en particulier ceux du genre Candida, pourraient jouer un rôle clé dans la formation et le développement de nombreux cancers.

Des champignons dans les tumeurs ? Oui, et la science le confirme.

En mars 2024, une étude majeure publiée dans l’International Journal of Oncology (Fungi and tumors: The role of fungi in tumorigenesis, Cheng et al., 2024) a analysé la présence de champignons dans plusieurs types de cancers. Résultat : on retrouve des signatures fongiques distinctes selon le type de tumeur. Candida albicans, Malassezia, Cladosporium ou encore Blastomyces ont été identifiés dans les tissus tumoraux du côlon, du sein, du foie, de l’œsophage, de la prostate, du pancréas, et même des ovaires.

Ces champignons ne sont pas seulement des passagers : ils influencent l’inflammation, modifient les réponses immunitaires locales, produisent des toxines et interagissent avec les bactéries et les cellules humaines. Ils peuvent favoriser un terrain propice à la cancérogenèse, en particulier dans un organisme affaibli ou déréglé.

Une autre revue de 2021 (Adv Pharm Bull., Hosseini et al.) avait déjà mis en évidence que plus de 2,2 millions de cas de cancers par an dans le monde pourraient être initiés par des infections microbiennes, dont une part significative d’origine fongique. Dans le cancer colorectal, des dysbioses fongiques — notamment une présence élevée de Candida tropicalis et glabrata — sont systématiquement relevées.

Photographie de cellules de C. albicans obtenue par microscopie électronique, montrant les détails morphologiques des cellules fongiques. 📌 Source : Science Photo Library / Dennis Kunkel Microscopy 📄 Photographie scientifique sous copyright, utilisée pour l’éducation

D’invité discret à envahisseur : comment Candida peut déraper

Pourquoi il est urgent de penser à la démycose

Cette image présente un biofilm de C. albicans cultivé sur un milieu spécifique, illustrant la complexité de la matrice extracellulaire. 📌 Source : ResearchGate 📄 Article scientifique sur les biofilms cultivés sur Spider medium

Les champignons pathogènes, en particulier Candida albicans, ne se contentent pas d’envahir les muqueuses. Des études ont montré qu’ils peuvent également libérer des toxines et des enzymes capables d’endommager l’ADN des cellules humaines. Cela signifie qu’ils ne créent pas seulement un terrain inflammatoire, mais peuvent aussi directement favoriser des mutations génétiques, ouvrant la voie à des transformations cellulaires cancéreuses. Un champignon qui attaque jusqu’au cœur de notre code génétique, c’est un ennemi qu’on ne peut plus ignorer.

En tant que naturopathe, je constate que les approches antiparasitaires sont de plus en plus populaires et c’est une excellente chose. Mais trop souvent, on oublie de s’attaquer aussi aux champignons et levures. Or, détruire les parasites sans assainir le terrain fongique, c’est comme nettoyer une mare sans évacuer les moisissures.

La mycose chronique n’est pas une vue de l’esprit : elle se cache pendant longtemps EN SILENCE dans les intestins, la bouche, la peau, les organes génitaux, et même dans les tissus profonds. Elle affaiblit l’organisme, empoisonne les tissus, bloque les détoxifications et peut, à terme, favoriser le terrain tumoral.

ImmunoPur : une réponse complète, antiparasitaire et antifongique

Mon protocole ImmunoPur a été conçu pour cibler à la fois les parasites internes (vers, protozoaires…) et les champignons pathogènes comme Candida. Il soutient en parallèle l’immunité, les intestins, le foie et les organes d’élimination. C’est une approche progressive et globale, adaptée à tous les niveaux de sensibilité.

ImmunoPur n’est pas qu’un protocole anti-candida : c’est une véritable remise à zéro du terrain. Il inclut des plantes antiparasitaires et antifongiques, des soutiens à la flore, des protecteurs hépatiques et des agents de détoxification cellulaire. Son objectif : retrouver un terrain propre, résilient et inhospitalier aux pathogènes.

Et le Dr Simoncini dans tout ça ?

Il serait injuste de parler de la relation entre champignons et cancer sans évoquer le Dr Tullio Simoncini, oncologue italien et auteur du livre Cancer is a Fungus. Dès les années 2000, il affirmait que le cancer était une prolifération de Candida albicans mal contrôlée par l’organisme.

Ses travaux, bien que controversés, ont marqué un tournant dans la remise en question de la vision strictement génétique du cancer. Il est l’un des premiers à avoir proposé une lecture infectieuse — et notamment fongique — de la cancérogenèse, en observant systématiquement la présence de levures dans les tumeurs de ses patients.

Aujourd’hui, de nombreuses publications scientifiques semblent converger avec ses intuitions, confirmant que la voie mycotique mérite une attention particulière dans toute stratégie de prévention ou d’accompagnement du cancer.

Je me tais en revanche sur ses remèdes car je ne partage pas sa vision sur ce point.

Résumons :

La présence fongique dans les tumeurs n’est plus une hypothèse marginale : c’est un fait documenté. Les scientifiques s’intéressent à ces micro-organismes longtemps ignorés, et nous, en tant que praticiens de santé naturelle, avons une longueur d’avance : nous savons déjà qu’il faut drainer, assainir, rééquilibrer.

Pour toute personne en recherche de bien-être profond, déparasiter ne suffit plus : il faut aussi penser à se démycoser. Et c’est précisément là que ImmunoPur peut faire toute la différence.


Envie de passer à l’action ?
Découvre le protocole complet ici : 🌿 ➡️ bit.ly/immunopur


Sources :

  • Cheng W. et al. Fungi and tumors: The role of fungi in tumorigenesis. Int J Oncol. 2024 Mar 27;64(5):52.
  • Hosseini K. et al. Role of Fungal Infections in Carcinogenesis and Cancer Development: A Literature Review. Adv Pharm Bull. 2021 Sep 29;12(4):747-756.
  • Simoncini T. Cancer is a Fungus: A Revolution in Tumor Therapy, Edizioni Lampis.

L’image d’illustration principale est une micrographie électronique qui révèle un biofilm mature de C. albicans, mettant en évidence la densité cellulaire et la structure en hyphes. 📌 Source : Revue scientifique Current Biology 📄 Article : Candida albicans Biofilms: More Than Filamentation 🔗 Accès à l’article sur Cell.com

Anna Scheele ©Technosphere


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Plantes Fumables : Le guide du fumeur libre

Toutes les plantes qui peuvent se fumer et que nous connaissons à ce jour !

Le but de ce guide des plantes qui se fument est de vous libérer de l’industrie féroce du tabac tout en vous ouvrant aux dizaines de possibilités qu’offre la Nature avec en prime la joie de se dédouaner de la nicotine.

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En plus, il est injuste que le savoir ancestral à ce sujet soit actuellement quasiment perdu et vous oblige à vous ruiner en achetant un tabac rempli de substances très dangereuses alors que la nature regorge de plantes fumables. Quel paradoxe n’est-ce pas ? (merci les lobbys).

Ce guide des plantes à fumer vous ouvre donc à l’abondance de la Nature tout en préservant votre argent.

Personnellement, cela fait six ans que je n’ai acheté aucun paquet de tabac puisque je fume d’autres plantes de mon jardin et quand j’en ai envie… Donc ce guide vous permettra aussi d’avoir un comportement beaucoup plus libre face à votre consommation voire même d’arrêter peu à peu si tel est votre souhait puisque la plupart des plantes fumables ne contiennent pas de nicotine. Cependant fumer reste dangereux dès lors qu’il y a combustion, donc j’évoque toutes sortes de façons de fumer dans le guide, dont la vape.

Il y a plusieurs chapitres, clairs et illustrés : je vous donne le nom des dizaines de plantes qui se fument avec des informations parfois historiques et médicinales, et concrètement, je vous explique quand et comment récolter, comment sécher votre récolte, la conditionner et la conserver, comment fumer et je vous explique comment cultiver votre propre tabac en toute légalité.

Je termine par des témoignages & inspirations, ainsi qu’avec toutes mes sources bibliographiques.

Il est disponible uniquement sur Payhip, en paiement sécurisé, il s’agit d’une édition indépendante !

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Les plantes qui se fument et que nous connaissons à ce jour !

Le tabac devient de plus en plus cher, avec une énième augmentation des prix le 1er janvier 2025. Pourquoi ne pas explorer des plantes fumables comme alternative ? Ces plantes, souvent méconnues, sont accessibles gratuitement dans la nature ou dans nos jardins, et permettent de réduire la dépendance à la nicotine tout en adoptant une approche plus saine et naturelle.

Ce que contient ce guide unique

Le Guide du Fumeur Libre est structuré en chapitres clairs et illustrés :

  • 🌱 Liste des plantes qui se fument : Noms, propriétés, usages historiques et médicinaux.
  • 🌿 Récolter et préparer vos plantes : Techniques de séchage et conservation.
  • 💨 Fumer autrement : Alternatives modernes comme la vape.
  • 🌾 Cultiver votre propre tabac en toute légalité.
  • Témoignages & inspirations pour vous motiver à adopter cette nouvelle approche.
  • 📚 Une bibliographie complète pour approfondir vos connaissances.

Pourquoi choisir des plantes qui se fument ?

Le savoir ancestral autour des plantes fumables a été presque oublié, remplacé par une industrie du tabac qui impose des produits remplis de substances toxiques et addictives.

Voici pourquoi les plantes fumables sont une alternative intéressante :

🌿 Des solutions naturelles : Libérez-vous des lobbys du tabac et découvrez des alternatives respectueuses de votre santé.
🍃 Accessibilité : Beaucoup de plantes fumables se trouvent gratuitement dans la nature ou dans votre jardin.
💨 Des options modernes : Apprenez à utiliser des alternatives comme la vape.


Témoignages de lecteurs

  • 💬 « J’ai voulu tester. Feuilles de menthe (2 petites sachant que son goût est fort ), l’ortie, feuilles de fraisier, J’ai laissé sécher derrière ma vitre de cuisine. J’ai tout broyé en pressant avec mes doigts. J’ai 1 appareil à tuber. Ça fonctionne super bien ». Gandhi Joe
  • 💬 « Une révélation ! Grâce à ce guide, j’ai découvert des plantes que je n’imaginais même pas pouvoir fumer. Merci pour ce savoir précieux. » – Claire
  • 💬 « J’ai adoré le chapitre sur le séchage. J’ai déjà récolté de l’ortie dans mon jardin et j’en suis ravi ! » – Juju
  • 💬 « Une solution simple et naturelle pour se libérer du tabac. » – Sophie

Petits extraits du livre :

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FAQ – Vos questions fréquentes

1. Ce guide peut-il m’aider à arrêter de fumer ?
✔️ Oui, en remplaçant le tabac par des plantes naturelles, vous réduisez progressivement votre dépendance à la nicotine.

2. Comment acheter le guide ?
➡ Cliquez sur le bouton « Acheter le livre » pour accéder à la page de paiement sécurisée.

3. Comment accéder au guide après l’achat ?
✔️ Une fois votre paiement sécurisé effectué, vous recevrez un lien pour télécharger le guide au format PDF.

4. Le paiement est-il sécurisé ?
✔️ Oui, le paiement est effectué via Stripe, une plateforme de paiement entièrement sécurisée, garantissant la protection de vos données.

5. Les plantes fumables sont-elles légales ?
✔️ Non, les plantes décrites dans ce guide ne sont pas toutes légales en France ou dans votre pays. Veuillez donc vous renseigner sur les lois de votre pays avant de faire usage de ces plantes.

6. Que faire si j’ai un problème avec le téléchargement ?
➡ Si vous rencontrez un problème, vous pouvez me contacter directement par email à inspifree@protonmail.com, et je serai ravi de vous aider.

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À propos de l’auteur – Anna Scheele

Anna Scheele est écrivaine, naturopathe, énergéticienne et musicothérapeute. Amoureuse du monde végétal et des mystères de l’énergie, elle explore les liens subtils entre la nature, le corps et l’esprit.

Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages, dont Le Guide du Fumeur Libre, une invitation à redécouvrir les plantes fumables à travers un savoir ancien, imprégné de traditions et de secrets oubliés. Bien plus qu’un simple recueil, ce livre est une porte ouverte vers une approche plus libre et plus consciente des plantes.

Sur son site Technosphere.live, elle partage son savoir en naturopathie, énergétique et musique thérapeutique, guidée par une quête d’harmonie et de simplicité. Elle propose également des consultations en santé naturelle et énergétique, pour ceux qui souhaitent retrouver équilibre et vitalité, en Bretagne ou à distance.

Également créatrice musicale, elle compose et diffuse des morceaux inspirés par les fréquences du vivant, sous les pseudonymes Anna Scheele et Dr FREE, notamment sur Bandcamp, SoundCloud et YouTube. Sa musique, imprégnée de vibrations thérapeutiques, accompagne ceux qui aspirent à une reconnexion profonde avec eux-mêmes et avec l’univers.

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DIABÈTE Parasites et pancréas: un lien sous-estimé dans les troubles du sucre

Lien entre parasites et troubles du glucose

On associe souvent le diabète, la résistance à l’insuline et les troubles du pancréas au sucre, à l’alimentation ou à l’hérédité. Pourtant, plusieurs recherches montrent que certaines infections parasitaires ou microbiennes peuvent contribuer à l’inflammation chronique, perturber le microbiote, surcharger le foie et influencer directement l’équilibre du glucose. Ce lien parasites–diabète reste méconnu, alors qu’il pourrait expliquer une partie des troubles du sucre chez de nombreuses personnes.

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Oxyures, ténias et douves hépatiques: inflammation silencieuse et charge toxique

Ces parasites n’attaquent pas directement le pancréas, mais ils créent une inflammation chronique de bas niveau. Cette inflammation perturbe les signaux hormonaux, fatigue le foie et modifie la réponse du corps à l’insuline. Conséquence, les cellules deviennent moins sensibles au glucose, ce qui favorise la résistance à l’insuline.

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Toxoplasma gondii: un impact indirect mais réel sur le métabolisme

Ce parasite peut modifier l’immunité, la fonction nerveuse et certaines voies hormonales. Plusieurs travaux montrent que Toxoplasma peut entraîner une dérégulation immunitaire, un état inflammatoire discret mais constant et des perturbations du métabolisme glucidique. Ce n’est pas la cause unique du diabète, mais un co-facteur métabolique.

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Protozoaires intestinaux: Giardia, Entamoeba, Trichomonas

Ces parasites provoquent une atteinte de la muqueuse intestinale, une mauvaise absorption et un déséquilibre du microbiote. Un microbiote perturbé modifie la réponse du corps à l’insuline, favorise la prise de poids et surcharge le foie et le pancréas. Un intestin irrité = un pancréas qui travaille en surcharge.

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Bacteroides, Fusobacteria, Clostridia: bactéries opportunistes et métabolisme perturbé

Ces bactéries sont normalement présentes dans l’intestin, mais lorsqu’elles migrent ailleurs ou deviennent dominantes, elles peuvent créer des abcès ou inflammations internes, perturber l’immunité et dérégler le métabolisme du glucose. Plusieurs études associent ces déséquilibres microbiens à la résistance à l’insuline et aux troubles du foie-pancréas.

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EBV (virus d’Epstein-Barr): un amplificateur du terrain métabolique

EBV ne crée pas le diabète, mais il peut induire une résistance à l’insuline en perturbant l’utilisation du glucose par les cellules. Ce virus très répandu agit comme un amplificateur du terrain parasitaire ou microbien.

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Résumé

Les parasites cités peuvent contribuer aux troubles du sucre parce qu’ils entretiennent une inflammation chronique, perturbent le microbiote, fatiguent le foie et le pancréas, dérèglent les signaux hormonaux et augmentent la résistance à l’insuline.

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Sources

  1. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30577822/
  2. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40109805/
  3. https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC9841285/
  4. https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6392483/
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6179160/


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La lymphe ne se voit pas, mais elle décide de votre visage, de vos tissus et de votre santé.

Résumé pour les pressés

On parle beaucoup du sang. On parle peu de la lymphe. Pourtant, c’est elle qui assure l’évacuation des déchets internes.
Quand la lymphe circule, le corps se purifie.
Quand elle stagne, le corps retient ce qu’il aurait dû éliminer.

Cela peut se traduire par :
• visage gonflé au réveil
• jambes lourdes
• hanches congestionnées, culotte de cheval
• peau terne ou réactive
• fatigue sourde, diffuse
• silhouette qui ne répond plus aux efforts

Ce n’est pas « du gras ».
Ce n’est pas un manque de volonté.
C’est un système d’évacuation ralenti.

La lymphe n’a pas de pompe, contrairement au sang.
Elle dépend de la respiration, du mouvement fluide, de la chaleur interne, et de la qualité du terrain digestif.

Prendre soin de la lymphe n’est pas un massage ponctuel.
C’est une hygiène interne.

C’est exactement ce que j’enseigne dans le protocole LymphoPur :
remettre le flux en mouvement, ouvrir les voies de sortie, et permettre au corps de se décharger réellement.

Quand le corps n’élimine plus correctement, il gonfle, il retient, il sature.

La lymphe récupère les déchets cellulaires, les protéines usées, les résidus d’inflammation, mais aussi les sous-produits laissés par certaines levures, champignons, moisissures internes et parasites.
Ces micro-organismes ne sont pas tous « des ennemis ».
Ils vivent déjà en nous.
Le problème n’est pas leur présence.
Le problème, c’est leur prolifération quand le terrain est affaibli, congestionné ou épuisé.

Et quand la lymphe n’arrive plus à suivre, tout se bloque.

C’est là qu’apparaissent :

• le visage gonflé le matin, parce que la zone cervicale n’a pas réussi à drainer
• les jambes lourdes, parce que la lymphe du bas du corps ne remonte plus correctement
• le bassin congestionné, qui garde ce qui aurait dû descendre
• la culotte de cheval qui n’est pas du gras, mais un stockage lymphatique
• la peau qui réagit, car elle tente de devenir l’issue de secours
• la fatigue sourde, qui n’est pas un manque d’énergie, mais une surcharge interne
• le mental voilé, comme ralenti, car la charge toxique diffuse fini par toucher l’ensemble du système

Le corps ne « s’empoisonne » pas volontairement.
Il fait de son mieux pour gérer ce qu’il ne peut plus éliminer.
Il met de côté.
Il stocke.
Il retient.
Il gèle la charge plutôt que de la laisser circuler sans contrôle.

Ce n’est pas un échec du corps.
C’est une stratégie de survie.

La question devient alors :

Est-ce que je veux continuer à stocker ? Ou est-ce que je veux rouvrir la circulation qui permet d’éliminer ?

Et c’est là que la plupart des approches échouent :
elles demandent au corps de « brûler », de « bouger plus », de « manger moins », d’« accélérer ».

Alors que le corps demande exactement l’inverse :

dégager le passage.
Rouvrir la voie.
Relancer le flux.

Ce n’est pas une question de volonté.
C’est une question d’évacuation.

La lymphe, le système qui gère les déchets internes (mais que tout le monde ignore)

On parle du sang parce qu’il bouge vite, qu’il est rouge, qu’il impressionne.
Mais la lymphe, elle, circule lentement, silencieusement, et pourtant c’est elle qui transporte la majorité des déchets internes.

Quand le corps élimine quelque chose (toxines, molécules inflammatoires, résidus métaboliques, sous-produits microbiens), il ne le fait pas directement dans le sang.
Il le met d’abord dans la lymphe.

Puis la lymphe doit remonter vers les clavicules pour rejoindre la circulation sanguine, passer par le foie, et être éliminée.

Sauf que la lymphe n’a pas de pompe.
Elle dépend du mouvement, du diaphragme, de la posture, de la chaleur interne, et de l’état du système nerveux.

En rouge, le diaphragme. C’est un grand muscle qui sépare la cage thoracique de l’abdomen.
C’est lui qui dirige la respiration.
Quand vous inspirez, il descend et pousse les organes vers le bas.
Quand vous expirez, il remonte et relâche la pression.
Ce mouvement agit comme une pompe naturelle pour :
• faire circuler la lymphe
• aider le foie et les intestins
• apaiser le système nerveux

Quand l’organisme est stressé, contracté, fatigué, assis longtemps, ou saturé de déchets internes :
le flux ralentit.

Quand le flux ralentit, les déchets stagnent.
Quand les déchets stagnent, le corps commence à gonfler pour se protéger.

Ce gonflement n’est pas du gras.
C’est une retenue.

Une mise en pause forcée.
Une manière pour le corps de dire :
« Je ne peux plus évacuer. Je garde. »

C’est ici que la plupart des approches se trompent

On conseille aux gens :
• de faire plus de sport
• de boire plus d’eau
• de manger moins
• de brûler plus
• de « se bouger »

Cela revient à mettre plus de circulation dans un système bouché.
Le corps ne peut pas accélérer quelque chose qui n’a plus de passage.

Ce n’est pas une question de discipline.
Ce n’est pas une question de volonté.
Ce n’est pas une question de calories.

C’est une question de drainage interne.

Et c’est précisément là qu’intervient LymphoPur

LymphoPur n’est pas un simple « drainage ».
Il réouvre la voie, de façon structurée, progressive et intelligente.

Il permet au corps de :
• relancer la circulation lymphatique
• évacuer les déchets internes accumulés
• apaiser les inflammations de terrain
• dégonfler les tissus qui retiennent
• retrouver une silhouette plus légère
• éclaircir le teint et le regard
• récupérer de la clarté mentale et de l’énergie stable

Ce n’est pas un protocole à la mode.
C’est une rééducation du flux interne.