On associe souvent le diabète, la résistance à l’insuline et les troubles du pancréas au sucre, à l’alimentation ou à l’hérédité. Pourtant, plusieurs recherches montrent que certaines infections parasitaires ou microbiennes peuvent contribuer à l’inflammation chronique, perturber le microbiote, surcharger le foie et influencer directement l’équilibre du glucose. Ce lien parasites–diabète reste méconnu, alors qu’il pourrait expliquer une partie des troubles du sucre chez de nombreuses personnes.
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Oxyures, ténias et douves hépatiques: inflammation silencieuse et charge toxique
Ces parasites n’attaquent pas directement le pancréas, mais ils créent une inflammation chronique de bas niveau. Cette inflammation perturbe les signaux hormonaux, fatigue le foie et modifie la réponse du corps à l’insuline. Conséquence, les cellules deviennent moins sensibles au glucose, ce qui favorise la résistance à l’insuline.
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Toxoplasma gondii: un impact indirect mais réel sur le métabolisme
Ce parasite peut modifier l’immunité, la fonction nerveuse et certaines voies hormonales. Plusieurs travaux montrent que Toxoplasma peut entraîner une dérégulation immunitaire, un état inflammatoire discret mais constant et des perturbations du métabolisme glucidique. Ce n’est pas la cause unique du diabète, mais un co-facteur métabolique.
Ces parasites provoquent une atteinte de la muqueuse intestinale, une mauvaise absorption et un déséquilibre du microbiote. Un microbiote perturbé modifie la réponse du corps à l’insuline, favorise la prise de poids et surcharge le foie et le pancréas. Un intestin irrité = un pancréas qui travaille en surcharge.
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Bacteroides, Fusobacteria, Clostridia: bactéries opportunistes et métabolisme perturbé
Ces bactéries sont normalement présentes dans l’intestin, mais lorsqu’elles migrent ailleurs ou deviennent dominantes, elles peuvent créer des abcès ou inflammations internes, perturber l’immunité et dérégler le métabolisme du glucose. Plusieurs études associent ces déséquilibres microbiens à la résistance à l’insuline et aux troubles du foie-pancréas.
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EBV (virus d’Epstein-Barr): un amplificateur du terrain métabolique
EBV ne crée pas le diabète, mais il peut induire une résistance à l’insuline en perturbant l’utilisation du glucose par les cellules. Ce virus très répandu agit comme un amplificateur du terrain parasitaire ou microbien.
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Résumé
Les parasites cités peuvent contribuer aux troubles du sucre parce qu’ils entretiennent une inflammation chronique, perturbent le microbiote, fatiguent le foie et le pancréas, dérèglent les signaux hormonaux et augmentent la résistance à l’insuline.
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Le déparasitage est une étape essentielle pour purifier l’organisme des parasites, des levures (type Candida albicans) et des champignons, mais aussi des biofilms qui les protègent. Pourtant, beaucoup de gens commettent des erreurs qui rendent leurs efforts inefficaces, voire contre-productifs. Voici les 7 erreurs à éviter absolument pour réussir votre cure et préserver votre santé !
⚠️ Erreur n°1 : Se précipiter sans préparer le terrain Trop souvent, on veut aller vite et on attaque directement les parasites. Or, cela peut provoquer une libération massive de toxines et aggraver les symptômes. Il est crucial de préparer le terrain : drainer les émonctoires, soutenir le foie et les reins, et entamer un premier nettoyage. C’est ce que je propose dans mon protocole de déparasitage.
⚠️ Erreur n°2 : Négliger les biofilms Les biofilms sont comme des refuges pour les parasites, les levures et les bactéries pathogènes. Les déloger est essentiel pour que votre cure soit efficace. Trop de cures oublient cette étape cruciale.
Biofilms sur des dents, photo avec un microscope électronique à balayage (SEM).Cette image présente un biofilm de C. albicans cultivé sur un milieu spécifique, illustrant la complexité de la matrice extracellulaire. 📌 Source : ResearchGate 📄 Article scientifique sur les biofilms cultivés sur Spider medium
⚠️ Erreur n°3 : Mal doser ou arrêter trop tôt Certaines personnes sous-dosent ou interrompent la cure dès qu’elles voient une amélioration, ce qui laisse le champ libre à une réinfestation rapide. La persévérance est indispensable pour un résultat durable. L’accès à mon canal telegram donné dans mon programme vous permet de rester motivé entre membres en cure.
⚠️ Erreur n°4 : Utiliser des remèdes inadaptés ou trop agressifs Beaucoup se ruent sur des produits trop puissants ou inadaptés, sans tenir compte de leur terrain et de leurs capacités d’élimination. Un protocole structuré et adapté est essentiel. Et petit rappel au passage, ce n’est pas parce qu’un groupe telegram a dit que tel produit est bon qu’il l’est réellement, il y a aussi beaucoup de manipulations, d’oppositions con.trôlées dans les milieux alternatifs et ces groupes n’ont pas hésité à me bannir quand j’ai apporté les preuves de la dangerosité sur le long termes de certains produits miracles.
⚠️ Erreur n°5 : Oublier le soutien immunitaire Un système immunitaire affaibli favorise les parasites. Il est indispensable de renforcer ses défenses pour éviter les récidives. D’où le nom de mon protocole : immuno/pur
⚠️ Erreur n°6 : Négliger l’hygiène de vie et l’alimentation Le sucre raffiné, les aliments transformés et malsains mais aussi un mode de vie déséquilibré affaiblissent l’organisme et nourrissent les parasites. L’hygiène de vie et l’alimentation sont des piliers essentiels.
⚠️ Erreur n°7 : Ne pas se faire accompagner Le déparasitage peut très bien se passer mais peut parfois être complexe, surtout si les symptômes sont nombreux ou si des réactions d’Herxheimer apparaissent (aggravation temporaire des symptômes due à la libération de toxines dans votre corps). Se faire accompagner par un professionnel de santé naturelle, comme un naturopathe, est un vrai plus et cela est dans mes aptitudes.
Le programme que je propose est un document à suivre en autonomie mais je suis aussi présente pour répondre à vos questions ponctuelles sur mon canal telegram privé (lien dans le programme). Ainsi, vous n’êtes pas livré à vous-mêmes 😉
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La photo présente des vers mais imaginez que cela n’est que la partie visible du parasitage ! La plupart des parasites sont microscopiques ! Cela signifie que VOUS abritez très probablement des colonies entières d’individus ! Tout un monde, un univers même !D’habitude je débarrasse mes clients de parasites invisibles, au niveau de l’astral mais je vous recommande très fortement de vous déparasiter aussi le corps physique !
Ce n’est vraiment pas pour vous faire peur que j’écris cela mais pour bien que vous preniez conscience de l’aspect FONDAMENTAL de ce sujet fort mal connu en France et en tous les cas pas du tout évoqué par la santé publique, et pourtant !
Aux USA, dans les études transversales américaines, environ deux personnes sur 3 ont une infection parasitaire ! Et dans un tiers des cas, les parasites ne montrent aucun symptôme immédiat ! Les gens imaginent souvent que les soucis parasitaires n’ont lieu que dans des pays « sous-développés’ alors que pas du tout. Ce sont des parasitologues qui le disent. Oui, il existe AUSSI des parasites en Occident car :
Ils ne connaissent pas les frontières
Les sources de contamination sont nombreuses
Plus personne ne se déparasite ou peu efficacement
J’ai réuni dans cet article les informations délivrées par le docteur Amin, reconnu internationalement pour son savoir sur ce sujet peu connu mais vraiment primordial pour notre santé.
Un parasite ?
Un parasite est un micro ou macro-organisme (le ténia, aussi appelé ver solitaire, est un ver parasite qui se développe dans l’intestin et qui peut mesurer jusqu’à 10 mètres de long !).
Ce sont le plus souvent des micro-organismes eucaryotes (dont la cellule comporte un noyau) qui ne sont ni des virus, ni des bactéries, ni des champignons. Ces organismes tirent profit ou vivent aux dépens d’un autre, appelé hôte ou parasité.
Le parasite doit satisfaire ses besoins nutritionnels vitaux en se nourrissant de certains tissus de l’hôte ou de certains fluides corporels contenant les produits biochimiques spécifiques dont il a besoin.
Il existe des parasites dans chaque tissu du corps humain, une fois qu’ils y ont accès.
Un parasite intestinal doit pénétrer dans la cavité buccale avec des aliments ou des boissons contaminés pour provoquer une infection.
D’autres portes d’entrée sont possibles.
Pourquoi c’est grave ?
Il existe des parasites pour chaque tissu du corps humain. Sachez que même le CERVEAU peut être atteint par des parasites ! Par exemple, les infections à échinocoques qui viennent des stades immatures des vers plat (ténia) atteignent le cerveau par les vaisseaux sanguins ! On peut attraper l’échinococcose juste si on est en contact avec un chien lui même parasité.
Simplement, votre enfant avale un peu de terre au parc ou se fait lécher le visage et donc la bouche par votre chien qui a léché son anus après avoir fait sa crotte. Cela suffira à l’infecter : des œufs ou des larves se retrouvent dans la bouche de l’enfant, il avale sa salive et cela se retrouve dans son corps. Ce parasite aimant se loger dans le cerveau, cela peut entraîner de graves infections cérébrales allant jusqu’à provoquer la mort.
On observe un CT scan du cerveau illuminé avec toutes ses petites larves dans le cerveau.
Bien sûr les intestins sont le siège d’énormément de parasites mais pas seulement !
D’autres endroits de notre corps peuvent servir d’abri et de nourriture aux parasites comme le diaphragme, ce qui peut entraîner la mort par insuffisance respiratoire (par exemple avec une infestation de cysticerques (forme larvaire) du ver plat ténia.
Les os aussi sont des endroits pour certains parasites, surtout les os encore un peu mous et malléables des enfants ! La moelle osseuse est un aliment et un abri pour eux.
Le coeur aussi peut être infecté par des parasites. On connaît la maladie des « vers du coeur » du chien mais cette invasion peut être transmise à l’humain par la simple piqûre d’un moustique. Les parasites vivent dans les artères pulmonaires allant jusque dans le cœur et provoquer des décès. Cela restera invisible à moins qu’une autopsie ait lieu.
Il existe aussi des parasites dans le pancréas et le docteur Amin Omar – professeur en parasitologie aux USA déclare :
« Je ne serais pas surpris, que certains des cancers du pancréas […] soient liés à une infection parasitaire » (voir son interview intégrale https://www.brighteon.com/93355256-0f17-459a-bd69-cae5c318e665 ). Or, les cancérologues n’examinent pas les tissus du pancréas afin de déceler ces parasites…
Le foie aussi peut être parasité et dévoré devenant peu à peu cancéreux !
D’autres parasites vont préférer siéger dans nos voies urinaires et nos reins ! Par exemple, les bactéries parasites « enterobacter » raffolent de notre système génito-urinaire.
De plus, il existe aussi un parasitage possible des ovaires et de l’utérus ! Cela n’est pas rare, loin de là. Hélas, le tissu de ces organes tente de contenir le mouvement et l’alimentation des parasites en créant des kystes autour de lui !
Même nos yeux peuvent être squattés ! Il existe l’onchocerca en Afrique de l’ouest et d’autres espèces de nématodes !
Comment attrape-t-on ces horreurs ?
Rien que dans l’eau du robinet il peut y avoir du cryptosporidium et du Giardia.
On peut aussi en attraper par simple contact de la peau avec de l’eau contaminée par des parasites (quand on nage dans des piscines, des lacs, des ruisseaux…).
La nourriture est également une source de contamination : les viandes de boeuf ou de porc mal cuites (vers plats), les poissons (ver plat très courant : le diphyllobothrium). Parfois, les aliments sont lavés avec une eau contaminée ! Ou servie par des gens qui ont carrément des ongles abjects avec parfois des matières fécales dessous.
Les piqûres d’insectes
L’air
Les animaux
Les gens déjà parasités
Le sol : être pieds nus sur un sol parasité. Dans les endroits où il y a des chiens, le sol peut être contaminé par le Toxocara canis ! Il existe aussi le Toxoplasma gondii, un parasite que l’on attrape par les matières fécales des animaux dont les chevaux.
Exemple de contamination par le toxocara canis : lorsque ces œufs sont accidentellement avalés, ils éclosent sous forme de petites larves qui vont commencer à se déplacer dans le corps mais vont s’arrêter dès qu’elles vont remarquer qu’elles ne sont pas dans le bon hôte (elles se plaisent plus chez le chien). En s’arrêtant dans différents organes, elles se mettent à chercher le chemin vers la peau ! Imaginez les dégâts causés en cours de route sur les tissus biologiques !
Le corps humain est forcément impacté par des êtres qui se nourrissent directement de sa matière et de ses nutriments ! Même les protozoaires les plus communs peuvent provoquer ces symptômes : ballonnements, diarrhée, flatulences, constipation, crampes, mal digestion, malabsorption, saignement intestinal, intestin irritable, intestin perméable et sécrétion excessive de mucus dans les selles.
Le docteur Amin Omar précise que les parasites provoquent aussi des symptômes d’allergies, fatigue, nausée, troubles nerveux et sensoriels, brouillard cérébral, perte de mémoire, mauvaise coordination, éruptions et troubles de la peau, douleurs et problèmes musculaires, fièvres, maux de tête, immunodéficiences, insomnies, variations de poids !
Ce docteur ajoute à propos du parasite intestinal « Entomoeba histolytica » qu’il peut parfois migrer à travers la paroi intestinale vers le foie, provoquant un dysfonctionnement hépatique et même…finir dans le cerveau !
Comme il est un peu plus large que le diamètre des globules rouges, il aura tendance bloquer les artères et veines du cerveau provoquant les symptômes d’un AVC ! Le patient peut donc en mourir.
Vous l’avez compris, se déparasiter est PRIMORDIAL si l’on veut préserver sa santé ! Si vous souffrez d’une maladie chronique, un bon réflexe serait de se déparasiter en premier lieu ! Je pense aux cancers, fibromyalgies, tdah, autisme, fatigue…
Encore plus fou, les parasites peuvent influencer notre comportement !
Par exemple, la toxoplasmose ôte tout sentiment de peur.
Des études ont montré un lien entre les parasitoses et certains troubles du comportement comme la dépression, les troubles bipolaires, les addictions, les crises d’angoisse, la nervosité etc…
A votre avis, pourquoi nos arrières grand-mères préparaient des vermifuges et des purges à nos grand-parents minimum deux fois par an ?
Les protozoaires (toxoplasmose, amibe dysentérique,…) aimant le système digestif et respiratoire.
Les vers (taenia, douve du foie, oxydées,…) adorant le système digestif et la peau (filaires,…).
Les arthropodes qui sont des vecteurs de parasites protozoaires, eux, utilisent le sang de leur hôte pour se nourrir. Ce sont les moustiques, les tiques etc.
Les micromycètes (aspergillus, candida Albicans (très répandu !) qui sont en réalité des champignons microscopiques et qui sont notamment responsables de mycoses, de ballonnements, de pneumocystoses etc.
Comment se déparasiter EFFICACEMENT ? Ceci sera l’objet d’un prochain article 😉
Interview du docteur Maria del Pilar Mora Dopazo. Elle y parle du lien entre la présence de parasites et champignons dans le corps et comment ils sont capables d’affecter nos comportements, émotions, personnalités etc. Mais aussi comment ils nous poussent à adopter un certain mode de vie pour assurer leur survie. Lien de la vidéo disponible ici https://t.me/Chaine_Videos_SVI/4 Le site du dr Pilar Mora https://metodoeisi.com
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